JC Satàn
Strasbourg [La Laiterie, Salle Club] - samedi 17 février 2018 |
Je viens d'entrer dans la salle et le concert de JC Satàn (qui fait donc la première partie de soirée avant Jessica93) a commencé il y a cinq minutes, le temps de manquer le début en partie entendu à travers les murs au dehors et que je reconnaîtrai plus tard par l'air comme "No Brain No Shame", une fois le nouveau CD obtenu tournant dans l'auto-radio sur la route du retour. Après les dix ans du label Born Bad, d'anniversaire c'est au tour de Dorian ce soir apparemment, lequel a répondu d'un amical doigt d'honneur à Arthur qui l'a un peu charrié.
Ils sont donc tous là : 1,2,3,4 et 5 ! Arthur et son excalibur sonore de guitare, la blonde Paula coiffée d'une casquette et bidouillant des boutons d'une petite boîte ou d'une pédale à effet à côté d'elle, Romain derrière ses futs, Dorian affairé sur son synthétiseur et un nouveau bassiste qui a remplacé Alice qui, elle, est partie l'année précédente s'occuper de son projet latéral. Les titres du nouvel album annoncé Centaur Desire fusent, sont à l'honneur et le son est énorme, épais, mais je reste calé au fond de la salle car une des oreilles a trop encaissé lors du concert de la veille (The Bellrays). Il y en a un de plus, dans une approche plus 'techno', que je reconnaitrai également plus tard ("Complex Situation"). D'autres titres, plus anciens et bien connus maintenant émergeront habituellement de la scène tels que "Dragons", "Crystal Snake" et quelques autres ("Satan II" je crois me rappeler également). Arthur, en petit roi agité du manche à six cordes, fend l'air avec des riffs de feu ou d'acier, agite sa guitare telle une cavalière dans une danse acrobatique parfois et le nouveau bassiste (merde, je ne me rappelle pas de son prénom !) contribue bien au mur du son qui baigne la salle.
Joué plus fort (trop fort?), le morceau final bourrinera à mort mais les murs tiendront bon. La fête aura semblé courte et il faudra peut-être un autre rendez-vous avec le groupe aquitain en concert dans l'avenir pour pouvoir plus apprécier les nouveaux titres, une fois les oreilles bien rodées dans les écoutes du nouvel album qui paraîtra dans les bacs en début du mois de mars.
Ils sont donc tous là : 1,2,3,4 et 5 ! Arthur et son excalibur sonore de guitare, la blonde Paula coiffée d'une casquette et bidouillant des boutons d'une petite boîte ou d'une pédale à effet à côté d'elle, Romain derrière ses futs, Dorian affairé sur son synthétiseur et un nouveau bassiste qui a remplacé Alice qui, elle, est partie l'année précédente s'occuper de son projet latéral. Les titres du nouvel album annoncé Centaur Desire fusent, sont à l'honneur et le son est énorme, épais, mais je reste calé au fond de la salle car une des oreilles a trop encaissé lors du concert de la veille (The Bellrays). Il y en a un de plus, dans une approche plus 'techno', que je reconnaitrai également plus tard ("Complex Situation"). D'autres titres, plus anciens et bien connus maintenant émergeront habituellement de la scène tels que "Dragons", "Crystal Snake" et quelques autres ("Satan II" je crois me rappeler également). Arthur, en petit roi agité du manche à six cordes, fend l'air avec des riffs de feu ou d'acier, agite sa guitare telle une cavalière dans une danse acrobatique parfois et le nouveau bassiste (merde, je ne me rappelle pas de son prénom !) contribue bien au mur du son qui baigne la salle.
Joué plus fort (trop fort?), le morceau final bourrinera à mort mais les murs tiendront bon. La fête aura semblé courte et il faudra peut-être un autre rendez-vous avec le groupe aquitain en concert dans l'avenir pour pouvoir plus apprécier les nouveaux titres, une fois les oreilles bien rodées dans les écoutes du nouvel album qui paraîtra dans les bacs en début du mois de mars.
Très bon 16/20 | par Pascha |
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