The Bronx
Belfort [Fetival Génériq - La Poudrière] - vendredi 13 février 2009 |
Relativement inconnu en Europe, The Bronx n'en est pourtant pas moins un des meilleurs fleurons de la scène punk-rock américaine de ces dernières années. Leur mélange de punk-rock et de rock seventies allant du glam au southern en passant par le hard-rock les démarque un peu des clones de Social Distortion qui pullulent chez les yankees.
Une petite réputation bien vite confirmée par un show tonitruant! Cette bande de gros bourrins peut se vanter d'être d'une efficacité ahurissante sur scène : son gargantuesque, session rythmique impeccable (quel batteur !) et mise en place parfaite. Rien ne dépasse, les breaks s'enchaînent sans sourciller et sans accrocs, la tchatche et le charisme du chanteur font le reste : pas un temps mort, le public est resté abasourdi du début à la fin. Rien à redire de ce côté.
Par contre, tout ça manque rapidement d'originalité. Même si les morceaux s'enchaînent sans problème, le groupe tourne rapidement en rond. Grosse rythmique sur grosses rythmiques, riff de bûcheron sur riffs de bûcheron, plus aucune surprise au bout de quatre ou cinq titres. Avec un nouvel album au compteur c'est quand même dommage d'avoir si peu de nouveauté à proposer. Même si tous les musiciens se sont démenés du début à la fin, la lassitude a pris rapidement le pas sur l'étourdissement du début de set. C'est souvent le cas dans ce style de rock et The Bronx ne fait malheureusement pas exception.
Une petite réputation bien vite confirmée par un show tonitruant! Cette bande de gros bourrins peut se vanter d'être d'une efficacité ahurissante sur scène : son gargantuesque, session rythmique impeccable (quel batteur !) et mise en place parfaite. Rien ne dépasse, les breaks s'enchaînent sans sourciller et sans accrocs, la tchatche et le charisme du chanteur font le reste : pas un temps mort, le public est resté abasourdi du début à la fin. Rien à redire de ce côté.
Par contre, tout ça manque rapidement d'originalité. Même si les morceaux s'enchaînent sans problème, le groupe tourne rapidement en rond. Grosse rythmique sur grosses rythmiques, riff de bûcheron sur riffs de bûcheron, plus aucune surprise au bout de quatre ou cinq titres. Avec un nouvel album au compteur c'est quand même dommage d'avoir si peu de nouveauté à proposer. Même si tous les musiciens se sont démenés du début à la fin, la lassitude a pris rapidement le pas sur l'étourdissement du début de set. C'est souvent le cas dans ce style de rock et The Bronx ne fait malheureusement pas exception.
Sympa 14/20 | par Abe-sapien |
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