Mondo Generator
Paris [Nouveau Casino] - lundi 20 novembre 2006 |
MONDO GENERATOR A PARIS !!! L'heure est tardive à laquelle Nick Oliveri choisit de réapparaître en France. Après 2 années d'absence dans notre pays, le revoilà à la tête d'une formation à part entière (et oui ce n'est plus un side-project). Pour fêter ça le nom du groupe a mué en Nick Oliveri And The Mondo Generator. Pour ceux qui connaissent bien les Queens Of The Stone Age, Nick en était le bassiste avant son exclusion mi 2004. Cette nouvelle appellation de son groupe est la preuve que ce projet n'est plus simple déconnade mais bel et bien un projet sérieux.
19h : C'est sous une pluie battante que les portes du Nouveau Casino s'ouvrent enfin et permettent à la dizaine de motivés, de rentrer se mettre à l'abri. Découverte des lieux : une petite salle, de quoi contenir à peine 500 personnes au maximum. Ce soir nous serons nettement moins, malheureusement pour l'artiste présent. Je m'attendais à beaucoup de metalleux bourrins mais l'assemblée est très hétérogène et même un nombre assez important de demoiselles a fait le déplacement pour un artiste au public majoritairement masculin. Ca fait plaisir. Le temps de prendre une bière au bar et un tee-shirt de Mondo Generator que la première partie entre en scène.
20h : C'est Warehouse, un groupe inconnu pour moi jusqu'à présent qui se charge d'ouvrir. Au début pas très convaincant, un peu mou et, on peut le dire, chiant, il leur a fallu 3 chansons pour se sentir à l'aise et parvenir à accrocher le public. Des chansons stoner assez planantes aux influences Melvins et Kyuss évidentes. Une découverte intéressante.
21h : Après un passage éclair pour vérifier le matériel, et 10 minutes de préparation, histoire de se faire attendre, Mondo Generator investit la scène du Nouveau Casino. C'est un "Fuck Me I'm Free" énergique qui déclenche les hostilités. Le public est déjà conquit. On a droit à la quasi totalité du dernier album : " Like A Bomb", "All The Way Down","Sonic Slow Motion Trails" (rafraîchissant), "Basket Case" (énergique), "Lie Detector" (détonnant), "So High" (mémorable et accompagné par le public), "Life Of Sin", "Mental Hell" (avec le public reprenant le refrain en choeur), "She Only Owns You", "I Never Sleep" (qui est nettement meilleure en live), "All Systems Go". On a également eu droit à certaines des compos du déjanté bassiste de son époque Queensienne : "Gonna Leave You" pour commencer: là encore le public faisait les choeurs. Vers la fin du set Nick nous a gratifié d'une très émouvante version d'"Autopilot", proche de la version Rated R. Enfin en rappel nous avons eu droit à "Tension Head" ce qui a ravivé le public après quelques chansons calmes. Mais revenons aux chansons de Mondo Generator : comme je l'ai déjà évoqué plus haut, Dead Planet est passé dans sa quasi intégralité, mais nous avons également eu droit à quelques morceaux des 2 premiers albums : "Fuck Me I'm Free" en ouverture, mais aussi "Like You Want" et "Four Corners" de A Drug Problem et "Shawnette" de Cocaine Rodeo, dans des versions vraiment géniale. Notre Nick Oliveri était déchaîné. Il nous a gratifié de hurlements géniaux, et de passages émotionnels intense. Petits mots glissés au public entre certaines chansons. Réponses aux injonctions du public (des ‘I love you Nick' à gogo). C'est pourquoi cet homme mérite vraiment l'appellation de ‘bête de scène'.
22h30 : Le concert se finit après 2 rappels et un larsen interminable. Nick revient pour discuter un peu avec les gens, signer des autographes, se faire prendre en photo et recevoir des compliments. Accessible le bonhomme avec ça. Chapeau bas !
19h : C'est sous une pluie battante que les portes du Nouveau Casino s'ouvrent enfin et permettent à la dizaine de motivés, de rentrer se mettre à l'abri. Découverte des lieux : une petite salle, de quoi contenir à peine 500 personnes au maximum. Ce soir nous serons nettement moins, malheureusement pour l'artiste présent. Je m'attendais à beaucoup de metalleux bourrins mais l'assemblée est très hétérogène et même un nombre assez important de demoiselles a fait le déplacement pour un artiste au public majoritairement masculin. Ca fait plaisir. Le temps de prendre une bière au bar et un tee-shirt de Mondo Generator que la première partie entre en scène.
20h : C'est Warehouse, un groupe inconnu pour moi jusqu'à présent qui se charge d'ouvrir. Au début pas très convaincant, un peu mou et, on peut le dire, chiant, il leur a fallu 3 chansons pour se sentir à l'aise et parvenir à accrocher le public. Des chansons stoner assez planantes aux influences Melvins et Kyuss évidentes. Une découverte intéressante.
21h : Après un passage éclair pour vérifier le matériel, et 10 minutes de préparation, histoire de se faire attendre, Mondo Generator investit la scène du Nouveau Casino. C'est un "Fuck Me I'm Free" énergique qui déclenche les hostilités. Le public est déjà conquit. On a droit à la quasi totalité du dernier album : " Like A Bomb", "All The Way Down","Sonic Slow Motion Trails" (rafraîchissant), "Basket Case" (énergique), "Lie Detector" (détonnant), "So High" (mémorable et accompagné par le public), "Life Of Sin", "Mental Hell" (avec le public reprenant le refrain en choeur), "She Only Owns You", "I Never Sleep" (qui est nettement meilleure en live), "All Systems Go". On a également eu droit à certaines des compos du déjanté bassiste de son époque Queensienne : "Gonna Leave You" pour commencer: là encore le public faisait les choeurs. Vers la fin du set Nick nous a gratifié d'une très émouvante version d'"Autopilot", proche de la version Rated R. Enfin en rappel nous avons eu droit à "Tension Head" ce qui a ravivé le public après quelques chansons calmes. Mais revenons aux chansons de Mondo Generator : comme je l'ai déjà évoqué plus haut, Dead Planet est passé dans sa quasi intégralité, mais nous avons également eu droit à quelques morceaux des 2 premiers albums : "Fuck Me I'm Free" en ouverture, mais aussi "Like You Want" et "Four Corners" de A Drug Problem et "Shawnette" de Cocaine Rodeo, dans des versions vraiment géniale. Notre Nick Oliveri était déchaîné. Il nous a gratifié de hurlements géniaux, et de passages émotionnels intense. Petits mots glissés au public entre certaines chansons. Réponses aux injonctions du public (des ‘I love you Nick' à gogo). C'est pourquoi cet homme mérite vraiment l'appellation de ‘bête de scène'.
22h30 : Le concert se finit après 2 rappels et un larsen interminable. Nick revient pour discuter un peu avec les gens, signer des autographes, se faire prendre en photo et recevoir des compliments. Accessible le bonhomme avec ça. Chapeau bas !
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Boys24 |
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