Mondo Generator
III The Ep / Demolition Day |
Label :
Tornado |
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Quelle difficile année que 2004 pour Nick Oliveri. En début d'année la nouvelle tombe. Il ne jouera plus avec les Queens Of The Stone Age... Quoi ?! Nick ? Viré ! Mais quel est l'auteur de cette infamie ? Josh ?! Dur... Bref pour cause de comportements violents, le génial bassiste est mis au chômage forcé par son compère de toujours. On se demande alors comment il va se relever de cette infamie.
Nick Oliveri a été viré pour comportement violent ! Il va montrer à tous que derrière ses frasques (destinées avant tout à amuser la galerie), ses histoires de drogues, se cache un grand compositeur, et qu'il possède aussi une facette trop méconnue par le public : un amour certain pour les jolies chansons mélodiques acoustiques. C'est le but de cet album, qui regroupera 2 EP en fait : Mondo Generator III (comme le 3ème disque) et Demolition Day signé de son propre nom. 2 parties, 2 facettes. Un première acoustique comme évoqué plus haut, et une partie électrique (avec Mondo Generator) qui rassurera les plus sceptiques.
Dans la première partie acoustique on trouvera des perles pop rythmées, inédites, à l'air de chant prépondérant ("All I've Got", "Paper Thin") et des adaptations acoustiques de vieilles chansons bourrines, beaucoup plus touchantes l'électricité coupée, et chantée avec le coeur ("I Want You To die", "Simple Exploding Man"). Mention spéciale pour "Autopilot" dans une version plus douce que l'originale, plus intimiste, et beaucoup plus jolie et poignante comme ça. Bravo !
La seconde partie se compose de 3 nouvelles compos, et d'une reprise du Velvet Underground "There She Goes Again" (avec la réutilisation d'un riff de son précédent album). Ces nouvelles chansons sont bonnes, moins que celles de l'EP acoustique mais sympas, surtout "Bloody Hammer" qui fait désormais partie des classiques du bonhomme.
Pour conclure, cet album montre Nick Oliveri sous un visage différent. Une facette calme et recherchée qui n'apparaissait pas clairement dans ses précédents projets. Le point faible de l'album est, comme d'habitude, d'avoir replacés d'anciens morceaux, et que ça risque de faire un peu remplissage pour certains fans. L'avantage est qu'ici les chansons apparaissent sur un jour nouveau, avec un côté mélancolique et touchant. Nick Oliveri reste tout de même un très bon compositeur, et même si cet album ne va pas révolutionner le rock, il est tout de même très bon, et j'ai envie de dire : comme d'habitude ! Merci Nick !
Nick Oliveri a été viré pour comportement violent ! Il va montrer à tous que derrière ses frasques (destinées avant tout à amuser la galerie), ses histoires de drogues, se cache un grand compositeur, et qu'il possède aussi une facette trop méconnue par le public : un amour certain pour les jolies chansons mélodiques acoustiques. C'est le but de cet album, qui regroupera 2 EP en fait : Mondo Generator III (comme le 3ème disque) et Demolition Day signé de son propre nom. 2 parties, 2 facettes. Un première acoustique comme évoqué plus haut, et une partie électrique (avec Mondo Generator) qui rassurera les plus sceptiques.
Dans la première partie acoustique on trouvera des perles pop rythmées, inédites, à l'air de chant prépondérant ("All I've Got", "Paper Thin") et des adaptations acoustiques de vieilles chansons bourrines, beaucoup plus touchantes l'électricité coupée, et chantée avec le coeur ("I Want You To die", "Simple Exploding Man"). Mention spéciale pour "Autopilot" dans une version plus douce que l'originale, plus intimiste, et beaucoup plus jolie et poignante comme ça. Bravo !
La seconde partie se compose de 3 nouvelles compos, et d'une reprise du Velvet Underground "There She Goes Again" (avec la réutilisation d'un riff de son précédent album). Ces nouvelles chansons sont bonnes, moins que celles de l'EP acoustique mais sympas, surtout "Bloody Hammer" qui fait désormais partie des classiques du bonhomme.
Pour conclure, cet album montre Nick Oliveri sous un visage différent. Une facette calme et recherchée qui n'apparaissait pas clairement dans ses précédents projets. Le point faible de l'album est, comme d'habitude, d'avoir replacés d'anciens morceaux, et que ça risque de faire un peu remplissage pour certains fans. L'avantage est qu'ici les chansons apparaissent sur un jour nouveau, avec un côté mélancolique et touchant. Nick Oliveri reste tout de même un très bon compositeur, et même si cet album ne va pas révolutionner le rock, il est tout de même très bon, et j'ai envie de dire : comme d'habitude ! Merci Nick !
Très bon 16/20 | par Boys24 |
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