Chris Cornell
Scream |
Label :
Interscope |
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On savait l'œuvre solo de Chris Cornell inégale. Mais que ce soit sur Euphoria Morning ou sur Carry On, on pouvait en sortir quelques bons morceaux pour combler un tant soit peu le défunt Soundgarden.
Mais comment l'auteur de Temple Of The Dog ou de Superunknown a-t-il pu nous pondre ce disque auquel même la qualificatif de médiocre ne convient pas. Je veux bien parfois qu'il y ait des collaborations surprenantes, mais de là à prendre comme producteur Timbaland et nous sortir un disque de R'n'B digne d'un Justin Timberlake, excusez-moi mais je comprends pas. La voix de Chris Cornell qui est un instrument à elle seule passe au vocoder. Et en parlant d'instrument, il n'y en a aucun ici. On a droit à des boîtes à rythme en veux-tu en voilà. Aucun son naturel, que des morceaux tout droit sortis d'ordinateur.
Et on frôle parfois la parodie avec avec un morceau comme "Ground Zero" qui pourrait sortir sur un album posthume de Michael Jackson. Sur, "Never Far Away", on est en plein dans la ballade teenage acnéique où Chris Cornell apparait comme un boys band à lui tout seul. Ce disque est un long calvaire pour tous les fans de Soundgarden où les chansons font rarement moins de 4 minutes. Aucun morceau ne peut être sauvé du naufrage.
On a perdu Chris Cornell. Espérons seulement que la reformation du combo de Seattle puisse lui rendre sa patte de compositeur qui nous avait donné de si rageur "Outshined" ou des somptueux "Hunger Strike" et "Feel On Black Days".
Mais comment l'auteur de Temple Of The Dog ou de Superunknown a-t-il pu nous pondre ce disque auquel même la qualificatif de médiocre ne convient pas. Je veux bien parfois qu'il y ait des collaborations surprenantes, mais de là à prendre comme producteur Timbaland et nous sortir un disque de R'n'B digne d'un Justin Timberlake, excusez-moi mais je comprends pas. La voix de Chris Cornell qui est un instrument à elle seule passe au vocoder. Et en parlant d'instrument, il n'y en a aucun ici. On a droit à des boîtes à rythme en veux-tu en voilà. Aucun son naturel, que des morceaux tout droit sortis d'ordinateur.
Et on frôle parfois la parodie avec avec un morceau comme "Ground Zero" qui pourrait sortir sur un album posthume de Michael Jackson. Sur, "Never Far Away", on est en plein dans la ballade teenage acnéique où Chris Cornell apparait comme un boys band à lui tout seul. Ce disque est un long calvaire pour tous les fans de Soundgarden où les chansons font rarement moins de 4 minutes. Aucun morceau ne peut être sauvé du naufrage.
On a perdu Chris Cornell. Espérons seulement que la reformation du combo de Seattle puisse lui rendre sa patte de compositeur qui nous avait donné de si rageur "Outshined" ou des somptueux "Hunger Strike" et "Feel On Black Days".
Inaudible ! ! ! 0/20 | par Smalltown |
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