Gaza
East EP |
Label :
Exigent |
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Wow ! Quelle bombe !!! En 2004, Gaza commet son premier méfait : East, 6 titres de mathcore sacrément burné sorti de nulle part. Et pour dérouiller, ça dérouille sévère !
Et quitte à nous en mettre plein la tête, Gaza a eu la bonne idée de débuter son maxi par le monumental "Kasam Rocket" : véritable condensé de tout ce qui se fait de mieux en matière de hardcore actuel. Tout y est parfait que ce soit les guitares directes à la Botch (ben tiens !), la rythmique à la fois puissante et précise, et bien sûr le chant (bon ok, les hurlements si vous préférés) possédé proche de la démence. Non, ce n'est pas un vulgaire disque de hardcore, c'est une démonstration, que dis-je, une véritable leçon !
Une leçon en six titres donc pour une claque magistrale.
Parce qu'après ce "Kasam Rocket" digéré, ce n'est alors plus qu'une formalité. Gaza déroule ses autres morceaux toutes griffes dehors. "Femur" démontrera toutes les capacités du groupe à se complaire dans la violence jusqu'à se terminer inévitablement dans le chaos. Si "East" "Hospital" et "Cattle" montreront une facette plus lente et maîtrisée du groupe, privilégiant l'intensité des atmosphères à l'énergie brute, "East" et "Gristle" dévoileront le côté primal et primaire de Gaza.
Avec un tel maxi, il était évident que notre quintette de Salt Lake City en gardait encore sous le pied. I Don't Care Where I Go When I Die et He Is Never Coming Back vont très rapidement confirmer toutes les espoirs entrevus sur ce maxi.
Et quitte à nous en mettre plein la tête, Gaza a eu la bonne idée de débuter son maxi par le monumental "Kasam Rocket" : véritable condensé de tout ce qui se fait de mieux en matière de hardcore actuel. Tout y est parfait que ce soit les guitares directes à la Botch (ben tiens !), la rythmique à la fois puissante et précise, et bien sûr le chant (bon ok, les hurlements si vous préférés) possédé proche de la démence. Non, ce n'est pas un vulgaire disque de hardcore, c'est une démonstration, que dis-je, une véritable leçon !
Une leçon en six titres donc pour une claque magistrale.
Parce qu'après ce "Kasam Rocket" digéré, ce n'est alors plus qu'une formalité. Gaza déroule ses autres morceaux toutes griffes dehors. "Femur" démontrera toutes les capacités du groupe à se complaire dans la violence jusqu'à se terminer inévitablement dans le chaos. Si "East" "Hospital" et "Cattle" montreront une facette plus lente et maîtrisée du groupe, privilégiant l'intensité des atmosphères à l'énergie brute, "East" et "Gristle" dévoileront le côté primal et primaire de Gaza.
Avec un tel maxi, il était évident que notre quintette de Salt Lake City en gardait encore sous le pied. I Don't Care Where I Go When I Die et He Is Never Coming Back vont très rapidement confirmer toutes les espoirs entrevus sur ce maxi.
Très bon 16/20 | par X_Jpbowersock |
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