Idlewild
Hope Is Important |
Label :
Food |
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Une pochette en noir et blanc, une barque, une plage, la pluie, l'Ecosse.
4 garçons de 20 ans de moyenne d'age, emplis d'espérance.
La volonté affichée de faire de cette morne vie bicolore, quelque chose où l'insouciance de la jeunesse prédomine et rayonne.
Enregistré en 1998, cet incisif effort doit beaucoup à ses aînés, Nirvana, Sonic Youth et Placebo entre autres, explorant tour à tour, expérimentations sonores, mélodies et puissance brute. La voix éraillée de Roddy Woomble taquine de nombreuses fois un registre hardcore, soutenue par de véloces guitares, une basse simple mais efficace et une batterie ravageuse. Le rock made in Scotland montre ses dents.
Idlewild parvient à l'intéressante symbiose de belles mélodies à une entraînante dextérité. Seuls les superbes titres "I Am Happy To Be Here" et "Safe and Sound" à un tempo moins soutenu entrecoupent cette cavalcade de 35 minutes.
Pour un premier album, l'exercice est plutôt convaincant, mais les influences sont de trop évidentes et certaines idées sont quelques peu redondantes.
Un album fougueux, dynamique avec un côté chien fou, idéal pour les matins difficiles mais on ne se réveillera pas la nuit pour lui...
4 garçons de 20 ans de moyenne d'age, emplis d'espérance.
La volonté affichée de faire de cette morne vie bicolore, quelque chose où l'insouciance de la jeunesse prédomine et rayonne.
Enregistré en 1998, cet incisif effort doit beaucoup à ses aînés, Nirvana, Sonic Youth et Placebo entre autres, explorant tour à tour, expérimentations sonores, mélodies et puissance brute. La voix éraillée de Roddy Woomble taquine de nombreuses fois un registre hardcore, soutenue par de véloces guitares, une basse simple mais efficace et une batterie ravageuse. Le rock made in Scotland montre ses dents.
Idlewild parvient à l'intéressante symbiose de belles mélodies à une entraînante dextérité. Seuls les superbes titres "I Am Happy To Be Here" et "Safe and Sound" à un tempo moins soutenu entrecoupent cette cavalcade de 35 minutes.
Pour un premier album, l'exercice est plutôt convaincant, mais les influences sont de trop évidentes et certaines idées sont quelques peu redondantes.
Un album fougueux, dynamique avec un côté chien fou, idéal pour les matins difficiles mais on ne se réveillera pas la nuit pour lui...
Pas mal 13/20 | par Oneair |
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