Sixteen Horsepower
Live March 2001 |
Label :
Glitterhouse |
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Sixteen Horsepower – "Live March 2001", annonce la couverture.
Hormis un laconique "Thanks for you all", on n'en saura pas beaucoup plus à la lecture des notes accompagnant cet album live, sorti dans l'indifférence quasi générale... Quelle date ? Où ? Mystère aussi sombre que la couleur noire du packaging.
A vrai dire, après un si définitif "Hoarse", on est en droit de se demander pourquoi un nouvel album live de 16hp, qui plus est un double. A la lecture de la track list, on constate que seul "American Wheeze" est présent sur les deux disques. Alors qu'"Hoarse" présentait les vertus live des titres de "Low Estate", ce double album balaye toute la carrière du groupe, piochant aussi bien dans "Sackcloth'N'Ashes", "Secret South" ou dans les influences d'Edwards (Leonard Cohen pour le poignant "The Partisan", Joy Division pour "24 Hours"). Un vrai témoignage de ce que pouvait être Sixteen Horsepower, tantôt rageur (le magistral "Clogger"), envoutant, possédé, habité. Les qualificatifs viennent à manquer, pour définir l'alchimie qu'il y avait entre Edwards, Humbert & Tola. Alchimie aujourd'hui en partie disparue, malgré tout le bien qu'on peut penser de "Woven Hand" et de "Lilium".
La production des 18 titres de l'album est impeccable, mettant en valeur la voix d'Edwards, aussi bien que les instruments, ou les clameurs du public. Il est rare que l'auditeur d'un album live ait l'impression "d'y être", pourtant ici c'est bel et bien le cas, tant le travail est soigné. C'est d'ailleurs là que Live March 2001 peut provoquer une grande frustration pour celui qui n'a jamais vu Sixteen Horsepower en concert. Il ne s'agit plus de se demander s'ils pouvaient être bons sur scène, on en a ici la confirmation. Bien heureux celui qui a pu assister à un concert du groupe, à plus forte raison si c'était à ce set là. Sans le savoir, vous participiez à un magnifique album de Sixteen Horsepower.
Hormis un laconique "Thanks for you all", on n'en saura pas beaucoup plus à la lecture des notes accompagnant cet album live, sorti dans l'indifférence quasi générale... Quelle date ? Où ? Mystère aussi sombre que la couleur noire du packaging.
A vrai dire, après un si définitif "Hoarse", on est en droit de se demander pourquoi un nouvel album live de 16hp, qui plus est un double. A la lecture de la track list, on constate que seul "American Wheeze" est présent sur les deux disques. Alors qu'"Hoarse" présentait les vertus live des titres de "Low Estate", ce double album balaye toute la carrière du groupe, piochant aussi bien dans "Sackcloth'N'Ashes", "Secret South" ou dans les influences d'Edwards (Leonard Cohen pour le poignant "The Partisan", Joy Division pour "24 Hours"). Un vrai témoignage de ce que pouvait être Sixteen Horsepower, tantôt rageur (le magistral "Clogger"), envoutant, possédé, habité. Les qualificatifs viennent à manquer, pour définir l'alchimie qu'il y avait entre Edwards, Humbert & Tola. Alchimie aujourd'hui en partie disparue, malgré tout le bien qu'on peut penser de "Woven Hand" et de "Lilium".
La production des 18 titres de l'album est impeccable, mettant en valeur la voix d'Edwards, aussi bien que les instruments, ou les clameurs du public. Il est rare que l'auditeur d'un album live ait l'impression "d'y être", pourtant ici c'est bel et bien le cas, tant le travail est soigné. C'est d'ailleurs là que Live March 2001 peut provoquer une grande frustration pour celui qui n'a jamais vu Sixteen Horsepower en concert. Il ne s'agit plus de se demander s'ils pouvaient être bons sur scène, on en a ici la confirmation. Bien heureux celui qui a pu assister à un concert du groupe, à plus forte raison si c'était à ce set là. Sans le savoir, vous participiez à un magnifique album de Sixteen Horsepower.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Tomveil |
Posté le 15 mars 2010 à 19 h 59 |
D'une photo présentant un cheval noir fougueux comme sorti d'une imagerie oniromancienne, on ne peut ou pourrait mieux ressentir ce que dégageait la musique de Sixteen Horsepower et d'avantage sur les scènes. Bien dommage aux personnes qui n'y avaient jamais vu le groupe à moins d'avoir été consolées un soir par la transmutation Woven Hand avec le commun et charismatique David Eugene Edwards.
Avec ce double live de mars 2001, nous pouvons compter pour pas moins de dix huit titres dans lesquels nous (re*)trouvons les fameux "American Wheeze*", l'épique "Phillys Ruth" banjo menant, un "Haw" en puissance ou la reprise du militant "The Partisan". Autre reprise, celle d'un morceau encore pioché chez Joy Division après "Day Of The Lords" dans l'autre album en public Hoarse, "24 Hours" résonne moins renfermé que l'original, frange au vent d'une guitare pesante et colérique.
Ce double album élargit en grand panorama le répertoire joué en public d'une des formations les plus marquantes sur scène et ayant chevauché en partie sur les deux dernières décennies qui ce sont écoulées.
Avec ce double live de mars 2001, nous pouvons compter pour pas moins de dix huit titres dans lesquels nous (re*)trouvons les fameux "American Wheeze*", l'épique "Phillys Ruth" banjo menant, un "Haw" en puissance ou la reprise du militant "The Partisan". Autre reprise, celle d'un morceau encore pioché chez Joy Division après "Day Of The Lords" dans l'autre album en public Hoarse, "24 Hours" résonne moins renfermé que l'original, frange au vent d'une guitare pesante et colérique.
Ce double album élargit en grand panorama le répertoire joué en public d'une des formations les plus marquantes sur scène et ayant chevauché en partie sur les deux dernières décennies qui ce sont écoulées.
Excellent ! 18/20
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