The Faint
Wet From Birth |
Label :
Saddle Creek |
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Une pochette des plus étranges: une espèce de poupée aux boucles blondes mais à tête de petit garçon tient dans ses bras un fœtus encore dans la poche maternelle, dont l'extrémité semble déjà accoucher d'un garçon de quelques années faisant une figure acrobatique. Le tout dans une montage-collage des plus rtro. Et oui.
L'univers du groupe est on ne peut plus clair. Les bases posées par le précédent album (ambiance electro-dark branchouille) sont ici poussées encore plus loin, comme le montre le génial morceau d'introduction "Desperate Guys". Un violon digne d'un film de Hitchcock, puis une bonne vieille rythmique disco et une basse bien grasse. On peut dire que ça en jette. Tout l'album continue dans la même veine, bourré de mélodies et de tubes electro-disco à vous faire remuer le popotin jusqu'au bout de la nuit ("I Disappear", "Southern Belles...", "Paranoiattack", tout l'album ?).
Bref, de nombreuses perles, aucun doute, ces mecs-là ont un don pour créer des mélodies qui restent. Un voyage dans les 80's qui fait du bien, vous file la pêche, et rafraîchit vraiment musicalement.
L'univers du groupe est on ne peut plus clair. Les bases posées par le précédent album (ambiance electro-dark branchouille) sont ici poussées encore plus loin, comme le montre le génial morceau d'introduction "Desperate Guys". Un violon digne d'un film de Hitchcock, puis une bonne vieille rythmique disco et une basse bien grasse. On peut dire que ça en jette. Tout l'album continue dans la même veine, bourré de mélodies et de tubes electro-disco à vous faire remuer le popotin jusqu'au bout de la nuit ("I Disappear", "Southern Belles...", "Paranoiattack", tout l'album ?).
Bref, de nombreuses perles, aucun doute, ces mecs-là ont un don pour créer des mélodies qui restent. Un voyage dans les 80's qui fait du bien, vous file la pêche, et rafraîchit vraiment musicalement.
Parfait 17/20 | par Egar Gecko |
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