Tuxedomoon
Holy War |
Label :
Crammed Discs |
||||
Tuxedomoon est une formation atypique, singulière et prolifique.
Ce groupe originaire de San Francisco a sorti l'un des plus grands titres de la pop electro de la fin des années 70, j'ai nommé le fabuleux "No Tears", imparable pour toute bonne soirée new wave gothique.
L'album Holy Wars, ne ressemble pas à ce que Tuxedomoon avait l'habitude de faire, c'est-à-dire de l'electro intelligente, sombre et géniale à la fois.
Dès les premières notes de la première chanson "The Waltz", on tombe sous le charme de cette basse qui nous amène dans des contrées aux accents orientaux, jazzy, spirituels. Holy Wars est un album souple, chaque titre est teinté d'une profondeur, d'une authenticité incroyable: "Bonjour Tristesse" (hommage à l'oeuvre de Sagan), "Soma" et surtout "In A Manner Of Speaking" nous montrent l'ouverture mélodique du groupe; on touche ici la pop mélancolique parfaite.
On en revient toujours pas du chant sublime de Winston Tong prononçant "ooh ! Give me the words to say nothing".
Cet album fascine toujours par la qualité des compositions, son ecléctisme et sa puissance émotionnelle.
On pense aux Virgin Prunes, aux Tétines Noires, Bauhaus parfois.
Aux amateurs de cabaret goth-rock de type Dresden Dolls, cet album est pour vous.
A écouter seul, en fermant les yeux. Vous ne rêvez pas, c'est seulement Tuxedomoon.
Chapeau.
Ce groupe originaire de San Francisco a sorti l'un des plus grands titres de la pop electro de la fin des années 70, j'ai nommé le fabuleux "No Tears", imparable pour toute bonne soirée new wave gothique.
L'album Holy Wars, ne ressemble pas à ce que Tuxedomoon avait l'habitude de faire, c'est-à-dire de l'electro intelligente, sombre et géniale à la fois.
Dès les premières notes de la première chanson "The Waltz", on tombe sous le charme de cette basse qui nous amène dans des contrées aux accents orientaux, jazzy, spirituels. Holy Wars est un album souple, chaque titre est teinté d'une profondeur, d'une authenticité incroyable: "Bonjour Tristesse" (hommage à l'oeuvre de Sagan), "Soma" et surtout "In A Manner Of Speaking" nous montrent l'ouverture mélodique du groupe; on touche ici la pop mélancolique parfaite.
On en revient toujours pas du chant sublime de Winston Tong prononçant "ooh ! Give me the words to say nothing".
Cet album fascine toujours par la qualité des compositions, son ecléctisme et sa puissance émotionnelle.
On pense aux Virgin Prunes, aux Tétines Noires, Bauhaus parfois.
Aux amateurs de cabaret goth-rock de type Dresden Dolls, cet album est pour vous.
A écouter seul, en fermant les yeux. Vous ne rêvez pas, c'est seulement Tuxedomoon.
Chapeau.
Très bon 16/20 | par Andybell |
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