Galaxie 500
Peel Sessions |
Label :
20/20/20 |
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John Peel est mort et pourtant grâce à lui nous recevons encore des nouvelles de groupes aimés et chéris. C'est ici bien le cas avec une double Peel Sessions, l'une enregistrée le 24 septembre 1989 et diffusée le 17 octobre, et l'autre enregistrée le 30 octobre 1990 et diffusée le 04 novembre.
Huit titres, quatre reprises et quatre originaux signés Galaxie 500.
Les reprises d'abord ; un exercice de style que semble avoir adoré le groupe puisque chacun de leurs trois albums en est émaillé. Sex Pistols, Young Marble Giants, Buffy Sainte Marie et Jonathan Richman nous laissent entrevoir la variété des influences du trio. "Submission" est une agréable version raffraîchissante, mais pleine de tension, loin des éructations de l'originale. "Final Day" réussi à être très personnel et aussi très proche de l'esprit de YMG. "Don't Let Our Youth Go To Waste" est un immense hommage au géni méconnu de J. Richman (déjà entendu sur leur 1er album "Today"). Je sors un joker concernant "Moonshot", qui sonne comme un morceau de Galaxie 500, car je ne connais ni l'original ni l'auteur lui-même.
Je suis un peu plus réservé pour les autres titres, tous très proche des versions des albums. Une pop simple et torturé, traversée de fulgurance sonique et un profond respect de l'oeuvre d'autrui : voilà un parfait résumé de la 'carrière' de Galaxie 500.
Huit titres, quatre reprises et quatre originaux signés Galaxie 500.
Les reprises d'abord ; un exercice de style que semble avoir adoré le groupe puisque chacun de leurs trois albums en est émaillé. Sex Pistols, Young Marble Giants, Buffy Sainte Marie et Jonathan Richman nous laissent entrevoir la variété des influences du trio. "Submission" est une agréable version raffraîchissante, mais pleine de tension, loin des éructations de l'originale. "Final Day" réussi à être très personnel et aussi très proche de l'esprit de YMG. "Don't Let Our Youth Go To Waste" est un immense hommage au géni méconnu de J. Richman (déjà entendu sur leur 1er album "Today"). Je sors un joker concernant "Moonshot", qui sonne comme un morceau de Galaxie 500, car je ne connais ni l'original ni l'auteur lui-même.
Je suis un peu plus réservé pour les autres titres, tous très proche des versions des albums. Une pop simple et torturé, traversée de fulgurance sonique et un profond respect de l'oeuvre d'autrui : voilà un parfait résumé de la 'carrière' de Galaxie 500.
Très bon 16/20 | par Hpl |
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