Bauhaus
Mask |
Label :
Beggars Banquet |
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Mask est l'album le plus abordable, probablement grâce au single "Kick In The Eye" et plusieurs morceaux à connotation funk ou reggae-dub.
Le début est pourtant dans la lignée heavy du précédent opus avec "Hair of the Dog", rythmique largement inspirée du Peter Gunn Theme.
Sons froids pour un mélancolique "Passion of Lovers", basse reggae et guitare crispante pour "Of Lillies and Remains", l'entraînant funk "Dancing" pour danser où vous voulez et retour à une ambiance beaucoup plus austère avec "Hollow Hills".
Suivent quatre tracks assez dansants "Kick In The Eye", "In Fear Of Fear", "Muscle In Plastic" et "The Man With The X-Ray Eyes".
"Mask" est angoissant malgré une fin plus joyeuse avec un son de guitare s'apparentant à du clavecin.
Le CD a l'avantage de proposer les b-side dub qui sont "In Fear Of Dub", "Ear Wax", "Harry". 1981 était la grande période dub, tout le monde s'y mettait : Clash, PIL, Damned...
"1,2,3,4" est une expérience intéressante, ou chacun étale son talent en 2 minutes sur le même rythme sorti de la boite, de là on pouvait deviner que chacun des protagonistes aurait une riche carrière soliste par la suite. Pour finir "Satori" est axé sur des rythmes de percussions entrelacés, agrémentés par une sympathique basse reggae et toutes sortes de bruitages.
Le début est pourtant dans la lignée heavy du précédent opus avec "Hair of the Dog", rythmique largement inspirée du Peter Gunn Theme.
Sons froids pour un mélancolique "Passion of Lovers", basse reggae et guitare crispante pour "Of Lillies and Remains", l'entraînant funk "Dancing" pour danser où vous voulez et retour à une ambiance beaucoup plus austère avec "Hollow Hills".
Suivent quatre tracks assez dansants "Kick In The Eye", "In Fear Of Fear", "Muscle In Plastic" et "The Man With The X-Ray Eyes".
"Mask" est angoissant malgré une fin plus joyeuse avec un son de guitare s'apparentant à du clavecin.
Le CD a l'avantage de proposer les b-side dub qui sont "In Fear Of Dub", "Ear Wax", "Harry". 1981 était la grande période dub, tout le monde s'y mettait : Clash, PIL, Damned...
"1,2,3,4" est une expérience intéressante, ou chacun étale son talent en 2 minutes sur le même rythme sorti de la boite, de là on pouvait deviner que chacun des protagonistes aurait une riche carrière soliste par la suite. Pour finir "Satori" est axé sur des rythmes de percussions entrelacés, agrémentés par une sympathique basse reggae et toutes sortes de bruitages.
Excellent ! 18/20 | par IsidoreDeVinck |
Réeditions CD et K7 en 1995 sur Atlantic.
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