Bauhaus
Press The Eject And Give Me The Tape |
Label :
Beggars Banquet |
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Ce premier live officiel de Bauhaus est distribué en 1982 associé à l'album studio The Sky Gone's Out, puis séparément l'année suivante.
Le version vinyle comporte des concerts à Londres et Liverpool entre le 31 octobre 81 et le 24 février 82.
Sur la version CD sont ajoutés 5 morceaux du concert au Rose Bonbon à Paris et un de Manchester – le son laisse à désirer, mais comme dans Bauhaus tout est bon, impossible de faire la fine bouche – de plus que la prise de Manchester est une reprise de Lou Reed "Waiting For the Man" (le drogué en manque qui attend son homme providentiel...), une reprise interprétée (improvisée ?) par la mythique Nico tous deux membres du Velvet Underground fin des années 60. John Cale – autre architecte du Velvet Underground – est aussi honoré par les constructeurs du Bauhaus avec cette merveilleuse reprise de "Rosegarden Funeral Of Sores" qui serait censé être une marche funèbre mais que moi je ressens comme une vieille locomotive à vapeur, une bête humaine.
Musiciens extraordinaires qui vous transportent dans des ambiances particulières où chaque son original forme un tout esthétique et évident.
Ma préférence va pour "The Man With The X-Ray Eyes" version également lancinante d'un morceau studio plus enjoué du LP Mask où la ligne de basse est vraiment géniale, les frères Haskins à la rythmique imperturbable (ils ont du sang de vieux bluesmen, c'est pas possible !!), Daniel Ash avec ses effets de guitare "coups de cape" ou "tuyauterie mal débouchée"... puis bien sûr la belle voix de Peter Murphy, riche et sincère.
Suite de l'album avec le pionnier "Bela Lugosi's Dead" et autre torturé et frénétique "Stigmata Martyr", sans oublier "The Spy In The Cab" avec sa rengaine "petite mélodie japonaise", "Hollow Hills" une complainte affligeante.
Les autres pièces sont plus dansantes d'inspirations punk-rock ou funk, mais toujours la même machine dévastatrice.
Le version vinyle comporte des concerts à Londres et Liverpool entre le 31 octobre 81 et le 24 février 82.
Sur la version CD sont ajoutés 5 morceaux du concert au Rose Bonbon à Paris et un de Manchester – le son laisse à désirer, mais comme dans Bauhaus tout est bon, impossible de faire la fine bouche – de plus que la prise de Manchester est une reprise de Lou Reed "Waiting For the Man" (le drogué en manque qui attend son homme providentiel...), une reprise interprétée (improvisée ?) par la mythique Nico tous deux membres du Velvet Underground fin des années 60. John Cale – autre architecte du Velvet Underground – est aussi honoré par les constructeurs du Bauhaus avec cette merveilleuse reprise de "Rosegarden Funeral Of Sores" qui serait censé être une marche funèbre mais que moi je ressens comme une vieille locomotive à vapeur, une bête humaine.
Musiciens extraordinaires qui vous transportent dans des ambiances particulières où chaque son original forme un tout esthétique et évident.
Ma préférence va pour "The Man With The X-Ray Eyes" version également lancinante d'un morceau studio plus enjoué du LP Mask où la ligne de basse est vraiment géniale, les frères Haskins à la rythmique imperturbable (ils ont du sang de vieux bluesmen, c'est pas possible !!), Daniel Ash avec ses effets de guitare "coups de cape" ou "tuyauterie mal débouchée"... puis bien sûr la belle voix de Peter Murphy, riche et sincère.
Suite de l'album avec le pionnier "Bela Lugosi's Dead" et autre torturé et frénétique "Stigmata Martyr", sans oublier "The Spy In The Cab" avec sa rengaine "petite mélodie japonaise", "Hollow Hills" une complainte affligeante.
Les autres pièces sont plus dansantes d'inspirations punk-rock ou funk, mais toujours la même machine dévastatrice.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par IsidoreDeVinck |
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