Logh
Every Time A Bell Rings An Angel Gets His Wings |
Label :
Bad Taste |
||||
J'ai acheté le disque des mains du guitariste après l'un de leur concert à La Guinguette Pirate (petit "haut lieu" de la scène parisienne). Comme mode de distribution il n'y a pas plus indépendant !
Le concert en soit fut déjà un choc, mais alors ce disque...
Dès le début, avec des titres comme "In Cold Blood" ou "The Passage", on pense à d'autres groupes néo-folk comme Sigur Ros ou Unbelievable Truth... mais en dix fois mieux.
Avec son savoureux mélange de post-rock qui venait du froid (guitare slide mélancolique, langoureuse et basse hypnotique comme sur le titre "Lookalike"), ce groupe suédois a su ajouter un petit quelque chose que d'autres productions n'ont pas.
Comme Madrugada (combo "nordiste", pendant de Logh sur un territoire plus rock), ce groupe fait rêver du froid.
Il donne envie de voyager vers des espaces enneigés, vers ce "paradis blanc" empreint de paix et de solitude...
Le concert en soit fut déjà un choc, mais alors ce disque...
Dès le début, avec des titres comme "In Cold Blood" ou "The Passage", on pense à d'autres groupes néo-folk comme Sigur Ros ou Unbelievable Truth... mais en dix fois mieux.
Avec son savoureux mélange de post-rock qui venait du froid (guitare slide mélancolique, langoureuse et basse hypnotique comme sur le titre "Lookalike"), ce groupe suédois a su ajouter un petit quelque chose que d'autres productions n'ont pas.
Comme Madrugada (combo "nordiste", pendant de Logh sur un territoire plus rock), ce groupe fait rêver du froid.
Il donne envie de voyager vers des espaces enneigés, vers ce "paradis blanc" empreint de paix et de solitude...
Intemporel ! ! ! 20/20 | par Swan |
Posté le 24 mars 2008 à 15 h 00 |
Après avoir lu moult critiques élogieuses envers ce groupe et une impressionnante moyenne de 19/20 pour l'ensemble de leur discographie, je me suis donc lancé à la découverte de ce mystérieux diamant enneigé.
Je me mets donc dans les conditions d'un voyage culturel et émotionnel, en espérant être touché par la grâce que le groupe semble dégager à travers sa musique.
Le premier morceau est clairement une merveille, un rythme posé et fascinant à la fois, avec une douceur exceptionnelle. Un second morceau "Yellow Lights Mean Slow Down, Not Speed Up" beaucoup plus touchant que le premier avec d'excellents passages pop, seul bémol : la fin qui vient gacher toute cette magie. Voyons voir le troisième morceau, une batterie très répétitive, morceau très lent et à la longue assez barbant malgré une bonne mélodie et une excellente basse, mais mon dieu, quel ennui...
On se jette sur le prochain morceau pour voir si le groupe que tout le monde encense n'est pas qu'une vaste supercherie, "Note On Bathroom Mirror" est aussi d'une redondance agaçante, avec toujours cette batterie en manque de souffle, cette guitare ultra-répétitive, certes il y a des passages magnifiques, mais c'est d'un ennui et d'une redondance telle que la magie n'opère pas.
"Music For Flightrecorders" est du même acabit mais avec une jolie mélodie.
"Lookalike" et "The Bastards Have Landed" sont à mourrir d'ennui, rien de transcendant pouvant attirer l'attention de l'auditeur.
Le morceau suivant "Ghosts" est une bouffée d'air frais dans cet ennui glacial, un post-rock minimaliste très sympa avec cette voix si douce.
Avec "Off the Ground" et "Every Streetlight A Reminder", on repart dans les travers du groupe, une redondance outrancière et un ennui à en mourir.
"The Hour We Knew Nothing" est un bon morceau, certes trop court mais qui évite la redondance si coutumière de ce groupe.
En résumé, cet album comporte quelques bijoux qui valent le détour et 35 minutes d'ennui profond sans aucun intérêt (sur 45min cela fait beaucoup). Un excellent album pour faire la sieste ou pour endormir les gosses, mais qui n'a rien à faire dans la collection d'un musicophile.
Je me mets donc dans les conditions d'un voyage culturel et émotionnel, en espérant être touché par la grâce que le groupe semble dégager à travers sa musique.
Le premier morceau est clairement une merveille, un rythme posé et fascinant à la fois, avec une douceur exceptionnelle. Un second morceau "Yellow Lights Mean Slow Down, Not Speed Up" beaucoup plus touchant que le premier avec d'excellents passages pop, seul bémol : la fin qui vient gacher toute cette magie. Voyons voir le troisième morceau, une batterie très répétitive, morceau très lent et à la longue assez barbant malgré une bonne mélodie et une excellente basse, mais mon dieu, quel ennui...
On se jette sur le prochain morceau pour voir si le groupe que tout le monde encense n'est pas qu'une vaste supercherie, "Note On Bathroom Mirror" est aussi d'une redondance agaçante, avec toujours cette batterie en manque de souffle, cette guitare ultra-répétitive, certes il y a des passages magnifiques, mais c'est d'un ennui et d'une redondance telle que la magie n'opère pas.
"Music For Flightrecorders" est du même acabit mais avec une jolie mélodie.
"Lookalike" et "The Bastards Have Landed" sont à mourrir d'ennui, rien de transcendant pouvant attirer l'attention de l'auditeur.
Le morceau suivant "Ghosts" est une bouffée d'air frais dans cet ennui glacial, un post-rock minimaliste très sympa avec cette voix si douce.
Avec "Off the Ground" et "Every Streetlight A Reminder", on repart dans les travers du groupe, une redondance outrancière et un ennui à en mourir.
"The Hour We Knew Nothing" est un bon morceau, certes trop court mais qui évite la redondance si coutumière de ce groupe.
En résumé, cet album comporte quelques bijoux qui valent le détour et 35 minutes d'ennui profond sans aucun intérêt (sur 45min cela fait beaucoup). Un excellent album pour faire la sieste ou pour endormir les gosses, mais qui n'a rien à faire dans la collection d'un musicophile.
Sans intérêt 8/20
En ligne
Au hasard Balthazar
Sondages