The Last Embrace
Nantes [Michelet] - jeudi 24 novembre 2016 |
À petit concert, petit Live Report. C'est comme ça, c'est la norme, j'écrirai désormais au prorata de ce que j'ai vu. The Last Embrace à Nantes, ça ne sonne pas forcément très glamour mais, ce soir-là, les mecs (et la fille ok, c'est façon de parler) se la jouait 100% acoustique avec le noyau dur du groupe (Sandy au chant, Coco aux claviers et Olivier à la guitare), une configuration qui fonctionne à merveille d'autant que Coco m'avait informé par SMS le mardi 22 à 09h17 que, je cite "la version acoustique de The Field of Minds bute tout". Difficile d'aller à l'encontre de cet évident constat.
La tête d'affiche ce soir-là, c'était Brieg Guerveno, un truc 100% Breton qui ne prendra certainement pas mal que je dise qu'en les écoutant, on pense à un Anathema moderne imbibé de chouchen. Je sais, je caricature mais, que voulez-vous, j'ai tété de la télévision publique dans mon jeune âge et j'en garde quelques séquelles, notamment concernant les raccourcis régionaux et la réduction des habitants à leurs produits du terroir. Quoi qu'il en soit, il me semble que cela donnait une belle homogénéité au niveau de l'affiche surtout quand on sait que The Last Embrace a déjà joué avec Antimatter. Si tu ne sais pas qui est Antimatter, tu ne comprendras pas mais ce n'est pas grave, arrange-toi avec Google.
L'affluence n'était pas au rendez-vous avec seulement une trentaine de personnes imbibées mais que celui qui n'a jamais été ivre à un concert jette la première pierre. En plus, je suis sûr que Sandy n'a jamais eu à subir les "à poil" de rigueur dans les années 90 sitôt qu'une nana foutait un pied sur scène, ne serait-ce que pour balayer le sol entre deux groupes (adresser les lettres d'insultes à groscon@gmail.com).
Je ne vous retiens pas plus longtemps, la set-list fut à peu près la même que d'habitude (se reporter aux chroniques précédentes). On s'autorise à penser dans les milieux autorisés que ça bosse sur du nouveau matériel (expression très prisée des magazines musicaux) et que ce sera bon. Des bisous à vous tous !
La tête d'affiche ce soir-là, c'était Brieg Guerveno, un truc 100% Breton qui ne prendra certainement pas mal que je dise qu'en les écoutant, on pense à un Anathema moderne imbibé de chouchen. Je sais, je caricature mais, que voulez-vous, j'ai tété de la télévision publique dans mon jeune âge et j'en garde quelques séquelles, notamment concernant les raccourcis régionaux et la réduction des habitants à leurs produits du terroir. Quoi qu'il en soit, il me semble que cela donnait une belle homogénéité au niveau de l'affiche surtout quand on sait que The Last Embrace a déjà joué avec Antimatter. Si tu ne sais pas qui est Antimatter, tu ne comprendras pas mais ce n'est pas grave, arrange-toi avec Google.
L'affluence n'était pas au rendez-vous avec seulement une trentaine de personnes imbibées mais que celui qui n'a jamais été ivre à un concert jette la première pierre. En plus, je suis sûr que Sandy n'a jamais eu à subir les "à poil" de rigueur dans les années 90 sitôt qu'une nana foutait un pied sur scène, ne serait-ce que pour balayer le sol entre deux groupes (adresser les lettres d'insultes à groscon@gmail.com).
Je ne vous retiens pas plus longtemps, la set-list fut à peu près la même que d'habitude (se reporter aux chroniques précédentes). On s'autorise à penser dans les milieux autorisés que ça bosse sur du nouveau matériel (expression très prisée des magazines musicaux) et que ce sera bon. Des bisous à vous tous !
Très bon 16/20 | par Arno Vice |
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