Michel Cloup (Duo)
Nantes [Le Stakhanov] - dimanche 29 janvier 2012 |
Le dimanche soir il faut souvent se faire violence pour sortir de chez soi, préférer les décibels au film de TF1, les excès du weekend encore dans la tête (ou l'estomac)...Mais quand c'est Michel Cloup qui le demande, on veut bien faire un effort.
Le Stakhanov, bar à concert tout frais (lui) du centre de Nantes, ouvre ses oreilles pour Oh! Pears en premier lieu, formation réduite (chanteur guitariste & batteur) pour un folk pas très original, mais très bien exécuté, la dose de fantaisie qu'il faut, assez touchant de voir ces types de Philadelphie en chemises en carreaux tirer une valise en cuir usagé après leur concert vers un coin de comptoir pour proposer leurs enregistrements.
Les rails d'effets & de pédales aux pieds, le Mac posé prêt à satisfaire les exigences de Michel Cloup, Patrice Cartier derrière sa batterie minimale, les voilà qui démarrent une espèce d'improvisation où il nous parle de Nantes, ville qu'il connaît bien (Diabologum était sur Lithium, LE label nantais de l'époque) pour ensuite enchaîner les morceaux de Notre Silence, les étirant au maximum, bouclant les riffs les uns sur les autres, pour parfois dépasser le quart d'heure (L'enfant, après lequel il esquisse un "ça fait du bien quand ça s'arrête hein" souriant à quelques personnes visiblement épuisés des tympans.
La majorité des titres de l'album sont joués, ils prennent visiblement du plaisir à être là, même si dans l'avalanche de guitare on sent qu'il est rodé ce concert, il ne doit pas vraiment différer d'une date à l'autre...
Ils s'en vont une première fois, forcément, et reviennent pour une reprise, qui commence en murmurant 'L'homme est une ordure, l'homme est une merde...'
Une version sauvage de "Seule La Musique" de Costes (déjà présente sur le Positive Karaoké With a Gun d'Expérience), avec un Michel Cloup finissant à genoux devant son micro, a boucler à l'infini 'seule la musique....seule la musique...est un soulagement" sous couvert de riffs, de larsens, avant de quitter définitivement la scène.
Les vinyls & cd's posés devant la petite scène, ils démontent, débranchent, discutant avec le public, partageant une bière, et pendant qu'on découvre qu'une femme quelque peu douteuse avait un petit chien enfermé dans son sac à main, il est déjà temps de repartir...
Le Stakhanov, bar à concert tout frais (lui) du centre de Nantes, ouvre ses oreilles pour Oh! Pears en premier lieu, formation réduite (chanteur guitariste & batteur) pour un folk pas très original, mais très bien exécuté, la dose de fantaisie qu'il faut, assez touchant de voir ces types de Philadelphie en chemises en carreaux tirer une valise en cuir usagé après leur concert vers un coin de comptoir pour proposer leurs enregistrements.
Les rails d'effets & de pédales aux pieds, le Mac posé prêt à satisfaire les exigences de Michel Cloup, Patrice Cartier derrière sa batterie minimale, les voilà qui démarrent une espèce d'improvisation où il nous parle de Nantes, ville qu'il connaît bien (Diabologum était sur Lithium, LE label nantais de l'époque) pour ensuite enchaîner les morceaux de Notre Silence, les étirant au maximum, bouclant les riffs les uns sur les autres, pour parfois dépasser le quart d'heure (L'enfant, après lequel il esquisse un "ça fait du bien quand ça s'arrête hein" souriant à quelques personnes visiblement épuisés des tympans.
La majorité des titres de l'album sont joués, ils prennent visiblement du plaisir à être là, même si dans l'avalanche de guitare on sent qu'il est rodé ce concert, il ne doit pas vraiment différer d'une date à l'autre...
Ils s'en vont une première fois, forcément, et reviennent pour une reprise, qui commence en murmurant 'L'homme est une ordure, l'homme est une merde...'
Une version sauvage de "Seule La Musique" de Costes (déjà présente sur le Positive Karaoké With a Gun d'Expérience), avec un Michel Cloup finissant à genoux devant son micro, a boucler à l'infini 'seule la musique....seule la musique...est un soulagement" sous couvert de riffs, de larsens, avant de quitter définitivement la scène.
Les vinyls & cd's posés devant la petite scène, ils démontent, débranchent, discutant avec le public, partageant une bière, et pendant qu'on découvre qu'une femme quelque peu douteuse avait un petit chien enfermé dans son sac à main, il est déjà temps de repartir...
Très bon 16/20 | par X_Lok |
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