The Kills
Saint-cloud [Rock En Seine Festival - Grande Scène] - vendredi 26 août 2011 |
Après un intermède productif avec Jack White chez les Dead Weather, Alison Mosshart retrouvait Jamie Hince afin de donner une suite à Midnight Boom sorti en 2008. Ce fut chose faite avec Blood Pressures, 4e disque du duo, qui n'aura -au passage- pas fait l'unanimité.
Toujours est-il que cela n'a pas entaché la réputation du groupe qui se payait, en ce 26 aout, une prestation en quasi tête d'affiche à Rock en Seine.
Après l'énergique et colorée prestation des brésilien(ne)s de CSS, les Kills donnent dans un genre bien différent. Plus sobre mais aussi plus classe. Le duo entre sur scène sans fioritures. Pas de batteur mais juste une boite à rythme, il faut s'y faire même si on a le droit de ne pas apprécier.
Le début du set est un peu mou, avec notamment deux nouveaux morceaux pas hyper convaincants.
C'est finalement avec un titre du premier album que le concert commence vraiment. En effet, à partir de "Kissy Kissy", la prestation monte en intensité.
Jamie et Alison ne se parlent pas, et adressent encore moins quoi que ce soit à la foule, mais l'alchimie qui règne entre les deux prend enfin sa pleine mesure.
Alison Mosshart, qui viendra un peu jouer du clavier et des percus, semble de plus en plus habitée par sa musique au fur et à mesure que le concert avance et son charisme (ainsi que sa longue chevelure brune) finit par avoir raison de la plupart des septiques. Le set est pourtant composé essentiellement de titres des deux derniers efforts en date, qui ne sont pas forcément les plus populaires, mais cela pourrait bien convaincre certains de s'y replonger.
Après "Sour Cherry", le duo finit par s'en aller, de manière un peu abrupte et alors même qu'il n'a pas utilisé l'heure entière qui lui était impartie.
The Kills est à priori un groupe qui gagne beaucoup plus à être vu dans un cadre intime que sur la scène principale d'un grand festival. Malgré tout, et en dépit d'un début de set assez soporifique, le duo aura su progressivement capter l'attention de la foule massive de Rock en Seine. C'est indéniable, cette formation ne ressemble à aucune autre et cette prestation, bien qu'elle semble avoir suscité des réactions mitigées, n'aura laissé personne indifférent.
Toujours est-il que cela n'a pas entaché la réputation du groupe qui se payait, en ce 26 aout, une prestation en quasi tête d'affiche à Rock en Seine.
Après l'énergique et colorée prestation des brésilien(ne)s de CSS, les Kills donnent dans un genre bien différent. Plus sobre mais aussi plus classe. Le duo entre sur scène sans fioritures. Pas de batteur mais juste une boite à rythme, il faut s'y faire même si on a le droit de ne pas apprécier.
Le début du set est un peu mou, avec notamment deux nouveaux morceaux pas hyper convaincants.
C'est finalement avec un titre du premier album que le concert commence vraiment. En effet, à partir de "Kissy Kissy", la prestation monte en intensité.
Jamie et Alison ne se parlent pas, et adressent encore moins quoi que ce soit à la foule, mais l'alchimie qui règne entre les deux prend enfin sa pleine mesure.
Alison Mosshart, qui viendra un peu jouer du clavier et des percus, semble de plus en plus habitée par sa musique au fur et à mesure que le concert avance et son charisme (ainsi que sa longue chevelure brune) finit par avoir raison de la plupart des septiques. Le set est pourtant composé essentiellement de titres des deux derniers efforts en date, qui ne sont pas forcément les plus populaires, mais cela pourrait bien convaincre certains de s'y replonger.
Après "Sour Cherry", le duo finit par s'en aller, de manière un peu abrupte et alors même qu'il n'a pas utilisé l'heure entière qui lui était impartie.
The Kills est à priori un groupe qui gagne beaucoup plus à être vu dans un cadre intime que sur la scène principale d'un grand festival. Malgré tout, et en dépit d'un début de set assez soporifique, le duo aura su progressivement capter l'attention de la foule massive de Rock en Seine. C'est indéniable, cette formation ne ressemble à aucune autre et cette prestation, bien qu'elle semble avoir suscité des réactions mitigées, n'aura laissé personne indifférent.
Sympa 14/20 | par Billyjoe |
Set list:
No Wow
Future Starts Slow
Heart Is a Beating Drum
Kissy Kissy
U.R.A. Fever
DNA
Satellite
Tape Song
Baby Says
The Last Goodbye
Pots and Pans
Fried My Little Brains
Sour Cherry
No Wow
Future Starts Slow
Heart Is a Beating Drum
Kissy Kissy
U.R.A. Fever
DNA
Satellite
Tape Song
Baby Says
The Last Goodbye
Pots and Pans
Fried My Little Brains
Sour Cherry
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