Land Of Talk
Mayenne [Festival Lézard Nomades] - samedi 12 avril 2008 |
Les québecquois débarquent en Mayenne pour un festival avec uniquement des groupes du pays des caribous. Mais ce festival ne déplace pas les foules avec au maximum cent personnes. Qu'à cela ne tienne ça ne m'empêchera pas de passer cette soirée musicale tabernacle!!
Land Of Talk était inconnu dans mon répertoire musical jusqu'ici mais ils m'ont donné une vraie claque. Le groupe enchaîne les compositions de main de maître pour au total un concert de plus d'une heure. Les trois compères québecquois emmenés par l'électrisante Elizabeth Powell nous délivrent une prestation de haut niveau.
Land Of Talk aime sa musique et ça se voit. Les trio crée une alchimie musicale et nous transporte pour une transe musicale absolument détonante. La chanteuse et guitariste est absolument intrigante par son jeu à la fois pudique et passioné. Le bassiste enchaine les lignes à la perfection alors que le batteur est pris dans une transe musicale.
Le résultat? Un concert absolument exceptionnel et j'invite vraiment tout le monde à découvrir ce groupe prometteur.
Land Of Talk était inconnu dans mon répertoire musical jusqu'ici mais ils m'ont donné une vraie claque. Le groupe enchaîne les compositions de main de maître pour au total un concert de plus d'une heure. Les trois compères québecquois emmenés par l'électrisante Elizabeth Powell nous délivrent une prestation de haut niveau.
Land Of Talk aime sa musique et ça se voit. Les trio crée une alchimie musicale et nous transporte pour une transe musicale absolument détonante. La chanteuse et guitariste est absolument intrigante par son jeu à la fois pudique et passioné. Le bassiste enchaine les lignes à la perfection alors que le batteur est pris dans une transe musicale.
Le résultat? Un concert absolument exceptionnel et j'invite vraiment tout le monde à découvrir ce groupe prometteur.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Tomtom |
Posté le 14 avril 2008 à 16 h 52 |
Probablement n'étaient-ils-pas nombreux ce soir pluvieux d'avril à connaître Land Of Talk. Je n'étais en tout cas pas de ceux là. Et une fois le show terminé, probablement n'étaient-ils pas nombreux à s'être rendu compte à quel point ce que l'on venait de voir était génial. Cette fois j'en étais.
Parce qu'on le devine aisément, le gros de la salle s'était probablement déplacé pour voir Les Trois Accords, groupe sympathico-dejanté ressemblant à une bande de hobbits défoncés au sirop d'érable... Placé en première ligne pourtant, chargé injustement de chauffer une salle plus habituée à tapoter gentiment du pied qu'à pogoter dans tous les sens, Land Of Talk semblait bien décidé à justifier le prix de leur billet d'avion. Compositions énergisantes rappelant le moins chiant de Sonic Youth et le moins criard de Blonde Redhead, passages fulgurants de soli de guitares signés par l'obsédante Miss Powell et blagounettes du bassiste avec le devant de la scène décidé à n'applaudir que quand les autres avaient terminé, tout cela valait vraiment le coup de se déplacer finalement ! On ne regrettera décidemment que le peu de spectateurs présents ce soir, malgré une programmation où l'éclectisme répondait tant bien que mal au talent.
Après un dernier remerciement très fairplay au public ("Merci de vous soyez tellement là"... oui pas évident le français), les trois compères nous ont laissé de bien chouettes mélodies en tête avant de réapparaitre à la sortie de la salle pour essayer de fourguer tant bien que mal leur camelote. Espérons pour eux qu'un jour le public les trouve, ils le méritent.
Parce qu'on le devine aisément, le gros de la salle s'était probablement déplacé pour voir Les Trois Accords, groupe sympathico-dejanté ressemblant à une bande de hobbits défoncés au sirop d'érable... Placé en première ligne pourtant, chargé injustement de chauffer une salle plus habituée à tapoter gentiment du pied qu'à pogoter dans tous les sens, Land Of Talk semblait bien décidé à justifier le prix de leur billet d'avion. Compositions énergisantes rappelant le moins chiant de Sonic Youth et le moins criard de Blonde Redhead, passages fulgurants de soli de guitares signés par l'obsédante Miss Powell et blagounettes du bassiste avec le devant de la scène décidé à n'applaudir que quand les autres avaient terminé, tout cela valait vraiment le coup de se déplacer finalement ! On ne regrettera décidemment que le peu de spectateurs présents ce soir, malgré une programmation où l'éclectisme répondait tant bien que mal au talent.
Après un dernier remerciement très fairplay au public ("Merci de vous soyez tellement là"... oui pas évident le français), les trois compères nous ont laissé de bien chouettes mélodies en tête avant de réapparaitre à la sortie de la salle pour essayer de fourguer tant bien que mal leur camelote. Espérons pour eux qu'un jour le public les trouve, ils le méritent.
Parfait 17/20
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