Piano Magic
The Troubled Sleep Of Piano Magic |
Label :
Green Ufos |
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Voilà le dernier album de Piano Magic, qui, si l'on en croit les rumeurs, pourrait bien être le dernier. Après un passage sur 4AD, pour le tres beau et complexe Writers Without Homes, Glen Johnson revient à un songwriting plus simple, et aussi plus limpide.
Ici, pas d'invités, excepté Angèle David Guillou, dont la voix angèlique (justement) illumine la majorité des chansons, et une instrumentation réduite au trio guitare, basse, batterie (et aussi quelques synthés).
Le résultat ? Eh bien probablement le meilleur album de Piano Magic depuis le chef d'oeuvre Low Birth Weight.
On y retrouve bien sûr cette mélancolie volatile, cette subtile harmonie de sons purs et de mélodies simples et belles, bref, tout ce qui fait de Piano Magic un groupe aussi singulier, et par là même, indispensable.
Et si, parfois, les guitares sont plus tourmentées ("Speed The Road, Rush The Light", "The End Of A Dark, Tired Year"), ce n'est que pour mieux nous entrainer dans son univers nocturne, sombre, mais jamais oppressant.
Nocturne ? oui, d'ailleurs, jamais un album de Piano Magic n'aura aussi bien porté son nom, car c'est à un véritable voyage onirique, de ceux que l'on ecoute le soir, sous la couette, juste avant de s'endormir, que Piano Magic nous invite et l'on s'y glisse sans résistance.
On espère donc vivement que les rumeurs sont fausses, et que Glen johnson ne s'arretera pas en si bon chemin.
Ici, pas d'invités, excepté Angèle David Guillou, dont la voix angèlique (justement) illumine la majorité des chansons, et une instrumentation réduite au trio guitare, basse, batterie (et aussi quelques synthés).
Le résultat ? Eh bien probablement le meilleur album de Piano Magic depuis le chef d'oeuvre Low Birth Weight.
On y retrouve bien sûr cette mélancolie volatile, cette subtile harmonie de sons purs et de mélodies simples et belles, bref, tout ce qui fait de Piano Magic un groupe aussi singulier, et par là même, indispensable.
Et si, parfois, les guitares sont plus tourmentées ("Speed The Road, Rush The Light", "The End Of A Dark, Tired Year"), ce n'est que pour mieux nous entrainer dans son univers nocturne, sombre, mais jamais oppressant.
Nocturne ? oui, d'ailleurs, jamais un album de Piano Magic n'aura aussi bien porté son nom, car c'est à un véritable voyage onirique, de ceux que l'on ecoute le soir, sous la couette, juste avant de s'endormir, que Piano Magic nous invite et l'on s'y glisse sans résistance.
On espère donc vivement que les rumeurs sont fausses, et que Glen johnson ne s'arretera pas en si bon chemin.
Excellent ! 18/20 | par Burette |
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