Real Estate
Atlas |
Label :
Domino |
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Cool un nouvel album des Ricains de Real Estate, voyons voir ce que cela donne.
Une pop indie psyché très bien arrangée et mélodieuse. La voix de Martin Courtney à laquelle on a rajouté un petit écho est rarement aussi bien travaillée. D'ailleurs avec le travail de la production, il y a encore une étape de franchie. On retrouve la basse présente d'Alex Bleeker, une guitare sèche vraiment tranquille, Matt Mondanile et son delay ou autres trémolos, un clavier psyché, Matt Kallman et Jackson Pollis à la batterie (qui ressemble pas mal à Kurt Cobain), quand même ça fait du beau monde ! Entre le trio de départ Bleeker, Courtney et Mondanile s'est créé un véritable lien vraiment agréable à écouter.
Dès que l'on entend les premiers accords d'Atlas, on se dit que l'album va être vraiment très tranquille, et c'est le cas avec "Had To Hear". On pense tout de suite à la qualité pop de leur album précédent, Days, et c'est bon signe. Chaque chanson est très bien arrangée, comme "Past Lives" où la basse et la guitare se coordonnent parfaitement. On peut trouver redondant certains côtés de ce groupe, notamment la naïveté de cet album. La rythmique est simple, les riffs aussi, les solistes ne sont pas des shredders (heureusement), mais la qualité des compositions et de la production est quasiment parfaites.
C'est un album qui ne se prend pas trop la tête, à l'image de la jolie balade "The Bend" où les transitions sont justes très bien élaborées. Sympa, un peu mélancolique parfois, "Primitive" et "Navigator" en sont les preuves. Le LP serait parfait pour un road trip entre potes au soleil, le regard à l'horizon... c'est surement pourquoi une des chansons s'appelle "Horizon".
Du coup, un peu déçu que ça se finisse aussi rapidement, seulement dix chansons, un peu moins de quarante minutes, mais bon. Allez, viens faire une balade sur Atlas viens, c'est cool.
Une pop indie psyché très bien arrangée et mélodieuse. La voix de Martin Courtney à laquelle on a rajouté un petit écho est rarement aussi bien travaillée. D'ailleurs avec le travail de la production, il y a encore une étape de franchie. On retrouve la basse présente d'Alex Bleeker, une guitare sèche vraiment tranquille, Matt Mondanile et son delay ou autres trémolos, un clavier psyché, Matt Kallman et Jackson Pollis à la batterie (qui ressemble pas mal à Kurt Cobain), quand même ça fait du beau monde ! Entre le trio de départ Bleeker, Courtney et Mondanile s'est créé un véritable lien vraiment agréable à écouter.
Dès que l'on entend les premiers accords d'Atlas, on se dit que l'album va être vraiment très tranquille, et c'est le cas avec "Had To Hear". On pense tout de suite à la qualité pop de leur album précédent, Days, et c'est bon signe. Chaque chanson est très bien arrangée, comme "Past Lives" où la basse et la guitare se coordonnent parfaitement. On peut trouver redondant certains côtés de ce groupe, notamment la naïveté de cet album. La rythmique est simple, les riffs aussi, les solistes ne sont pas des shredders (heureusement), mais la qualité des compositions et de la production est quasiment parfaites.
C'est un album qui ne se prend pas trop la tête, à l'image de la jolie balade "The Bend" où les transitions sont justes très bien élaborées. Sympa, un peu mélancolique parfois, "Primitive" et "Navigator" en sont les preuves. Le LP serait parfait pour un road trip entre potes au soleil, le regard à l'horizon... c'est surement pourquoi une des chansons s'appelle "Horizon".
Du coup, un peu déçu que ça se finisse aussi rapidement, seulement dix chansons, un peu moins de quarante minutes, mais bon. Allez, viens faire une balade sur Atlas viens, c'est cool.
Très bon 16/20 | par Bernie |
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