Poor Sons
Dyunes |
Label :
Burger |
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La production est méga-boueuse, c'est marée basse à Fouras. De la vase, l'instru est totale empêtrée et les crieurs (crieuses ?) qui servent de 'chanteurs' pourraient causer en hébreu (la langue la plus affreuse du monde, pire que le hollandais ce truc) qu'on y verrait que du feu.
Tout cela pourrait être pénible bien sûr. Et à certains égards, ça l'est (heureusement que ce n'est qu'un EP de 5 titres). Mais il se passe quelque chose. Indéniablement mon bon monsieur. Ce boucan décérébré distille, malgré toutes répulsions, de son énergie hum... maléfique. Comme un train fantôme trash (hardcore?) de l'actuel 'garage surf rock psychédélique' qui secoue Frisco, Poor Sons n'y va pas de main morte (y a de l'esprit là!, et du subtil!) pour nous posséder.
C'est toujours à la limite mais leur tapage de goules en chaleur fonctionne. "Cool Buzz", pépite de leur vase, ressemble même à une chanson. Et une sacrée.
Tout cela pourrait être pénible bien sûr. Et à certains égards, ça l'est (heureusement que ce n'est qu'un EP de 5 titres). Mais il se passe quelque chose. Indéniablement mon bon monsieur. Ce boucan décérébré distille, malgré toutes répulsions, de son énergie hum... maléfique. Comme un train fantôme trash (hardcore?) de l'actuel 'garage surf rock psychédélique' qui secoue Frisco, Poor Sons n'y va pas de main morte (y a de l'esprit là!, et du subtil!) pour nous posséder.
C'est toujours à la limite mais leur tapage de goules en chaleur fonctionne. "Cool Buzz", pépite de leur vase, ressemble même à une chanson. Et une sacrée.
Sympa 14/20 | par Sirius |
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