Maserati
Pyramid Of The Sun |
Label :
Temporary Residence |
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Août 2009: dans le métro avec Lolive, qui sans cesse, me fait découvrir de nouveaux disques quand moi, je lui en passe 3-4 de temps à autre après les avoir dûment saignés en mode quasi-monomaniaque... A la Takichan, quoi !
Tentative de reconstitution des faits: plusieurs bières et encore pas mal de motivation dans le sang pour la suite des opérations. Moment rêvé pour partager des écouteurs et me laisser porter au gré de sa playlist. Arrive le moment où il enclenche "Inventions", premier morceau du dernier disque en date (à l'époque) de Maserati: Inventions For The New Season. Et bien, croyez-moi si vous voulez, je me suis mis à danser, assis comme un con sur un strapontin du métro, tellement ça sonnait frais et abouti sans paraître aussi abrutissant que dans la plupart des musiques "faites pour danser".
Donc, un an après les faits: quel ne fut pas mon plaisir à la première écoute de ce Pyramid Of The Sun ! Des morceaux plus dansants les uns que les autres avec des sons de synthé catchy à souhait (sans paraître aussi kitsch que dans la plupart des musiques "faites pour danser") sans pour autant mettre de côté l'aspect ultra-mélodique et introspectif de leur son. C'est ainsi qu'on se retrouve à danser en mode "taï-chi halluciné" devant son PC au son des pépites que sont "They'll No More Suffer From Thirst" ou "Oaxaca" (enregistrées avec Steve Moore de Zombi) ou comme un bad boy sur un morceau aussi puissant que "We Got The System To Fight The System".
Entre autres, au sein d'un album que l'on sent magnifiquement construit malgré les conditions d'enregistrement que j'imagine compliquées après la disparition du super batteur qu'était Gerry Fuchs. A ce titre, le magnifique jam "Bye M'friend, Goodbye" qui clôt l'album sans donner l'impression de réellement se terminer laisse transparaître un sentiment de triomphe de la création musicale et de l'imagination qu'elle stimule bien moins grandiloquente et agressive donc d'autant plus forte que celle que l'on ressent à la sortie d'un Yanqui UXO...
Longue vie à Maserati !
Tentative de reconstitution des faits: plusieurs bières et encore pas mal de motivation dans le sang pour la suite des opérations. Moment rêvé pour partager des écouteurs et me laisser porter au gré de sa playlist. Arrive le moment où il enclenche "Inventions", premier morceau du dernier disque en date (à l'époque) de Maserati: Inventions For The New Season. Et bien, croyez-moi si vous voulez, je me suis mis à danser, assis comme un con sur un strapontin du métro, tellement ça sonnait frais et abouti sans paraître aussi abrutissant que dans la plupart des musiques "faites pour danser".
Donc, un an après les faits: quel ne fut pas mon plaisir à la première écoute de ce Pyramid Of The Sun ! Des morceaux plus dansants les uns que les autres avec des sons de synthé catchy à souhait (sans paraître aussi kitsch que dans la plupart des musiques "faites pour danser") sans pour autant mettre de côté l'aspect ultra-mélodique et introspectif de leur son. C'est ainsi qu'on se retrouve à danser en mode "taï-chi halluciné" devant son PC au son des pépites que sont "They'll No More Suffer From Thirst" ou "Oaxaca" (enregistrées avec Steve Moore de Zombi) ou comme un bad boy sur un morceau aussi puissant que "We Got The System To Fight The System".
Entre autres, au sein d'un album que l'on sent magnifiquement construit malgré les conditions d'enregistrement que j'imagine compliquées après la disparition du super batteur qu'était Gerry Fuchs. A ce titre, le magnifique jam "Bye M'friend, Goodbye" qui clôt l'album sans donner l'impression de réellement se terminer laisse transparaître un sentiment de triomphe de la création musicale et de l'imagination qu'elle stimule bien moins grandiloquente et agressive donc d'autant plus forte que celle que l'on ressent à la sortie d'un Yanqui UXO...
Longue vie à Maserati !
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Takichan |
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