The The
Hanky Panky |
Label :
Epic |
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Bien allongé dans mon fauteuil, j'ai posé le diamant sur le sillon du vinyle (baliverne c'est un cd), j'ai succombé à cette musique. The The, Hanky Panky c'est bien.
The The c'est bien quoi qu'il fasse. Écoutez par exemple Infected, chef d'œuvre méconnu qui vaut bien plus que le 14 qu'un gus lui à laissé sur XS. Moi je vous parle d'un album de reprise. Étonnant non ? Des reprises de Hank Williams, une légende selon les amateurs de country dont je ne fais pas parti. Si on en croit Wikipedia (l'encyclopédie et pas le célèbre chro-niqueur rock Roger Wikipedia) le gars est mort à 29 ans, est un artiste maudit et a inventé un style: le honky tonk. Tiens ca me rappelle quelque chose, ah oui de hanky à honky c'est kif kif bourricot.
Pendant que mon phonographe (baliverne c'est une chaine hifi) crache le son, je me dis qu'on se rend à peine compte que c'est des reprises tant le son semble personnel. Non mais écoutez moi si c'est pas beau ce "Honky Tonkin" d'un lyrisme fou porté par la voix possédé de Matt Johnson (le gonze le plus sous estimé du rock ni plus ni moins).
Ou sur les précédents albums ca partait dans des délires quelque peu zilluminés, ici l'instrumentation et minimaliste: piano, orgue et guitare. Rester audacieux et ambitieux toit en laissant s'exprimer les qualités du morceau original (elles en ont des choses à dire les qualités) et le gros coup de force réaliser tout au long de l'alboom. Boom comme quelques explosions sonores qui me laisse sans mot. "My Heart Would Know" étonnant de simplicité.
"I Can't Escape From You", le meilleur morceau de gospel country de tous les temps (rude concurrence), offre une touche dramatique au disque. "I Saw The Ligth" est la chanson qui cache le moins ses influences typé Creedence CR, constitue l'autre sommet du disque.
Un disque qui va vous passer dessus par tous les trous des oreilles.
The The c'est bien quoi qu'il fasse. Écoutez par exemple Infected, chef d'œuvre méconnu qui vaut bien plus que le 14 qu'un gus lui à laissé sur XS. Moi je vous parle d'un album de reprise. Étonnant non ? Des reprises de Hank Williams, une légende selon les amateurs de country dont je ne fais pas parti. Si on en croit Wikipedia (l'encyclopédie et pas le célèbre chro-niqueur rock Roger Wikipedia) le gars est mort à 29 ans, est un artiste maudit et a inventé un style: le honky tonk. Tiens ca me rappelle quelque chose, ah oui de hanky à honky c'est kif kif bourricot.
Pendant que mon phonographe (baliverne c'est une chaine hifi) crache le son, je me dis qu'on se rend à peine compte que c'est des reprises tant le son semble personnel. Non mais écoutez moi si c'est pas beau ce "Honky Tonkin" d'un lyrisme fou porté par la voix possédé de Matt Johnson (le gonze le plus sous estimé du rock ni plus ni moins).
Ou sur les précédents albums ca partait dans des délires quelque peu zilluminés, ici l'instrumentation et minimaliste: piano, orgue et guitare. Rester audacieux et ambitieux toit en laissant s'exprimer les qualités du morceau original (elles en ont des choses à dire les qualités) et le gros coup de force réaliser tout au long de l'alboom. Boom comme quelques explosions sonores qui me laisse sans mot. "My Heart Would Know" étonnant de simplicité.
"I Can't Escape From You", le meilleur morceau de gospel country de tous les temps (rude concurrence), offre une touche dramatique au disque. "I Saw The Ligth" est la chanson qui cache le moins ses influences typé Creedence CR, constitue l'autre sommet du disque.
Un disque qui va vous passer dessus par tous les trous des oreilles.
Excellent ! 18/20 | par Chaurionde |
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