Marmaduke Duke
Duke Pandemonium |
Label :
14th Floor |
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Le Duke a envie de faire la fête. Et attention pas la fête à neuneu, celle-là va être sauvage et "jusqu'au-boutiste", le Duke va prendre cher.
The Dragon et The Atmosphere, après nous avoir conté la jeunesse du Duke de la manière la plus improbable et éclectique que ce soit, nous narrent ici une soirée de n'importe quoi.
Des beats directifs, des guitares funky et des sonorités pop vintages à la limite de la kitsch attitude, Marmaduke Duke poursuis ici son œuvre de funky homme selon sa propre logique décalée et totalement décomplexée. Bande son d'une soirée trop arrosée passée en avance rapide, Duke Pandemonium trace sa route sur son chemin d'une manière totalement nonchalante et pourtant tellement directe.
Peut-on enchainer les adjectifs dans une chronique de disque sans citer un seul titre ? Oui, parce que ce disque est de ceux qui s'écoute en bagnole avant une grosse nuit, ou au retour à la limite, histoire de rester concentré et de ne pas à avoir à fermer un œil pour voir la route droite. Et vous vous souvenez de chaque détails de ses soirées vous ??
Cet album à l'image de ce que doit rendre le groupe sur scène est jouissif, bordélique, carré, mélodique, survolté, inventif, décalé et envoi sa part de gros pâté dans un paysage musical underground qui mériterai plus souvent ce genre d'ouverture vers une imagination débordante et débridée. Duke Pandemonium vaut son pesant de papillons, croyez-le.
Bref, gavez-vous, ou le Duke le fera pour vous. A écouter : "Kid Gloves" ; "Silhouette" ; "Music Show" ; "Erotic Robotic" ; "Rubber Lover" ; "Je Suis Un Funky Homme" ; "Demon" ... et puis merde écoutez-le en entier !
The Dragon et The Atmosphere, après nous avoir conté la jeunesse du Duke de la manière la plus improbable et éclectique que ce soit, nous narrent ici une soirée de n'importe quoi.
Des beats directifs, des guitares funky et des sonorités pop vintages à la limite de la kitsch attitude, Marmaduke Duke poursuis ici son œuvre de funky homme selon sa propre logique décalée et totalement décomplexée. Bande son d'une soirée trop arrosée passée en avance rapide, Duke Pandemonium trace sa route sur son chemin d'une manière totalement nonchalante et pourtant tellement directe.
Peut-on enchainer les adjectifs dans une chronique de disque sans citer un seul titre ? Oui, parce que ce disque est de ceux qui s'écoute en bagnole avant une grosse nuit, ou au retour à la limite, histoire de rester concentré et de ne pas à avoir à fermer un œil pour voir la route droite. Et vous vous souvenez de chaque détails de ses soirées vous ??
Cet album à l'image de ce que doit rendre le groupe sur scène est jouissif, bordélique, carré, mélodique, survolté, inventif, décalé et envoi sa part de gros pâté dans un paysage musical underground qui mériterai plus souvent ce genre d'ouverture vers une imagination débordante et débridée. Duke Pandemonium vaut son pesant de papillons, croyez-le.
Bref, gavez-vous, ou le Duke le fera pour vous. A écouter : "Kid Gloves" ; "Silhouette" ; "Music Show" ; "Erotic Robotic" ; "Rubber Lover" ; "Je Suis Un Funky Homme" ; "Demon" ... et puis merde écoutez-le en entier !
Très bon 16/20 | par Zorneye |
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