Vampire Weekend
Vampire Weekend |
Label :
XL |
||||
Vampire Weekend
"Self Titled" 30,2 minutes.
------------
Exploitant :
Xl Recordings.
Fabriqué par :
New York City.
Lisez attentivement l'intégralité de cette notice avant d'écouter ce disque. Elle contient des informations importantes sur votre traitement. Ce disque ne vous est cependant pas personnellement prescrit, vous êtes invités à le partager.
Les substances actives sont :
Sonorités afro-pop, riffs légers
Les autres composants sont :
Jeu de batterie timide et sans prétention, percussions africaines, chœurs folâtres
Qu'est ce que "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" disque non sécable et dans quels cas est-il utilisé ?
Ce disque se présente sous la forme d'un LP d'une durée d'un gros EP. Il vous est indiqué dans le traitement :
-des épisodes dépressifs,
-de la prévention des attaques de panique (crises d'angoisse aiguë répétées),
-du trouble anxiété sociale et musicale caractérisé "phobies sociales et musicales" lorsqu'il perturbe de manière importante les activités professionnelles, sociales ou musicales (le "manque de sympathie pour le poppy" n'est pas une indication, cf. Mise en garde),
-de l'anxiété généralisée évoluant depuis au moins 6 mois.
Quelles sont les informations nécessaires avant d'écouter "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes".
Ne pas tenter d'écoute de "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" dans les cas suivants :
-Allergie connue à la musique poppy,
-adulte de plus de 25 ans,
-association avec écoute de disques dépressifs de type metal, rock progressif, goth... Toutefois, si votre chroniqueur juge indispensable de vous prescrire l'association du poppy et rock goth pour trentenaires, vous devrez être hospitalisé pour une surveillance psychiatrique de quelques jours.
Prendre des précautions particulières avec "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" :
Mises en garde :
Ce disque contient associations des riffs légers et des chœurs folâtres, il reste réservé à l'adolescent de moins de 25 ans et contre indiqué chez le goth trentenaire admirateur de Christian Death.
Des effets indésirables tels qu'idées suicidaires ou d'homicides ont été principalement observés au cours d'essais cliniques menés chez l'adulateur de musiques rock sombres.
Précautions d'emploi :
Modérer les fréquences d'écoute en cas de :
-Insomnie ou excitation pendant et après écoute,
-Problèmes intestinaux (une consommation excessive peut entraîner des effets laxatifs)
Conduite de véhicules et utilisation de machines :
Ce disque peut modifier sérieusement les capacités d'attention et de réaction et rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Si la musique poppy vous ennuie à mourir, il est vous fortement déconseillé de prendre le volant après une écoute prolongée.
Comment utiliser "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes"?
Si vous avez l'impression que l'effet de "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" est trop fort ou trop faible :
Consultez votre chroniqueur traitant.
Mode et voie d'administration :
Principalement voies auditives. Une administration anale est fortement déconseillée, aussi chiant que cet album puisse sonner à vos oreilles.
Fréquence d'administration :
L'utilisateur est libre quant aux fréquences de consommation. L'administration en fin de soirée est contre-indiquée.
Comment conserver "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes"?
Tenir hors de la portée et de la vue des amateurs de musiques sombres et dépressives, la présence du substantif "Vampire" pourrait attirer l'attention de ceux-ci.
La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est en juin 2008.
Laboratoires XS.
"Self Titled" 30,2 minutes.
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Exploitant :
Xl Recordings.
Fabriqué par :
New York City.
Lisez attentivement l'intégralité de cette notice avant d'écouter ce disque. Elle contient des informations importantes sur votre traitement. Ce disque ne vous est cependant pas personnellement prescrit, vous êtes invités à le partager.
Les substances actives sont :
Sonorités afro-pop, riffs légers
Les autres composants sont :
Jeu de batterie timide et sans prétention, percussions africaines, chœurs folâtres
Qu'est ce que "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" disque non sécable et dans quels cas est-il utilisé ?
Ce disque se présente sous la forme d'un LP d'une durée d'un gros EP. Il vous est indiqué dans le traitement :
-des épisodes dépressifs,
-de la prévention des attaques de panique (crises d'angoisse aiguë répétées),
-du trouble anxiété sociale et musicale caractérisé "phobies sociales et musicales" lorsqu'il perturbe de manière importante les activités professionnelles, sociales ou musicales (le "manque de sympathie pour le poppy" n'est pas une indication, cf. Mise en garde),
-de l'anxiété généralisée évoluant depuis au moins 6 mois.
Quelles sont les informations nécessaires avant d'écouter "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes".
Ne pas tenter d'écoute de "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" dans les cas suivants :
-Allergie connue à la musique poppy,
-adulte de plus de 25 ans,
-association avec écoute de disques dépressifs de type metal, rock progressif, goth... Toutefois, si votre chroniqueur juge indispensable de vous prescrire l'association du poppy et rock goth pour trentenaires, vous devrez être hospitalisé pour une surveillance psychiatrique de quelques jours.
Prendre des précautions particulières avec "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" :
Mises en garde :
Ce disque contient associations des riffs légers et des chœurs folâtres, il reste réservé à l'adolescent de moins de 25 ans et contre indiqué chez le goth trentenaire admirateur de Christian Death.
Des effets indésirables tels qu'idées suicidaires ou d'homicides ont été principalement observés au cours d'essais cliniques menés chez l'adulateur de musiques rock sombres.
Précautions d'emploi :
Modérer les fréquences d'écoute en cas de :
-Insomnie ou excitation pendant et après écoute,
-Problèmes intestinaux (une consommation excessive peut entraîner des effets laxatifs)
Conduite de véhicules et utilisation de machines :
Ce disque peut modifier sérieusement les capacités d'attention et de réaction et rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Si la musique poppy vous ennuie à mourir, il est vous fortement déconseillé de prendre le volant après une écoute prolongée.
Comment utiliser "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes"?
Si vous avez l'impression que l'effet de "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes" est trop fort ou trop faible :
Consultez votre chroniqueur traitant.
Mode et voie d'administration :
Principalement voies auditives. Une administration anale est fortement déconseillée, aussi chiant que cet album puisse sonner à vos oreilles.
Fréquence d'administration :
L'utilisateur est libre quant aux fréquences de consommation. L'administration en fin de soirée est contre-indiquée.
Comment conserver "Vampire Weekend "Self Titled" 30,2 minutes"?
Tenir hors de la portée et de la vue des amateurs de musiques sombres et dépressives, la présence du substantif "Vampire" pourrait attirer l'attention de ceux-ci.
La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est en juin 2008.
Laboratoires XS.
Sympa 14/20 | par TheWayYouSmiled |
Posté le 01 juillet 2008 à 20 h 32 |
Vampire Weekend, c'est autre chose qu'une addition de composés qu'on peut énumérer. Comme on ne peut pas définir les Clash par REBELLION + ANGLETERRE + RIFFS DE GENIE + RENOUVEAU DU PUNK.
Commençons donc par décrire ce que Vampire Weekend n'est pas.
Il y a des disques qu'on achète parfois à la suite d'un coup de foudre visuel. On aime la pochette (le premier album de Frantic par exemple), le design (Gorillaz), le bel écrin qui entoure le disque (Sufjan Stevens et son coffret délicieux de disques de chansons de Noël) : soyons clair, Vampire Weekend n'entre dans aucune de ces catégories. L'illustration sur la pochette est un peu dégueu (sans dec, si un jour vous enregistez un album, vous seriez prêts, vous, à mettre la photo d'un lustre en couverture?), et même le carton bleu ciel de l'édition limitée ne fait pas honneur au contenu musical.
Il y a des artistes qu'on aime détester, des branleurs finis, à l'allure rock'n'roll, destroy et à l'image volontairement écornée, des Pete Doherty, souvent blindés de talent, mais qui la ramènent tellement qu'on finit par ne plus y croire.
Et donc, il y a Vampire Weekend, soit Ezra Koenig, Rostam Batmanglij, Chris Tomson et Chris Baio. On n'écoute pas Vampire Weekend pour la pochette ou pour les types qui chantent, quatre gamins proprets et hypes qui ne craignent pas de ne pas avoir l'air rock. Au reste, ils n'en ont pas besoin.
Une seule écoute suffit. Le premier album du quartet new yorkais est d'une beauté confondante. 11 morceaux d'une pop élégante et brillante sublimée par une production parfaite, rien de moins que cela. Au fond, c'est tout ce à quoi doit servir la production : sublimer chaque instrument, perfectionner la netteté du son et enjoliver la voix.
Dès l'ouverture du disque, on tombe sous le charme de cette musique lumineuse, portée par la voix sublime d'Ezra Koenig qui, à défaut de ne pas avoir le nom entier d'une marque de bière, possède un organe enviable, proche de celui de Pete Doherty, en moins bousillé.
Les tubes s'enchaînent donc et le rythme ne faiblit jamais. Choc monumental avec "A-Punk", habillé d'une pop survitaminée qui suit admirablement le flow d'Ezra (qui a fait du rap dans sa jeunesse et ça se voit presque). Le cocktail entre la mélodie et la voix, soutenu par des claviers énergiques, fait merveille.
"Cape Cod Kwassa-Kwassa", autre sommet du disque, est du même acabit. Bon, c'est seulement la chose qu'on peut reprocher à ce disque, son manque de variété. Merde, ils pourraient insuffler de la médiocrité au milieu de cette beauté, que ce qui est magnifique le semble encore plus?
Bref, je ne saurais assez vous convaincre de vous jeter sur ce disque extraordinaire, habité d'une énergie sans égale.
Commençons donc par décrire ce que Vampire Weekend n'est pas.
Il y a des disques qu'on achète parfois à la suite d'un coup de foudre visuel. On aime la pochette (le premier album de Frantic par exemple), le design (Gorillaz), le bel écrin qui entoure le disque (Sufjan Stevens et son coffret délicieux de disques de chansons de Noël) : soyons clair, Vampire Weekend n'entre dans aucune de ces catégories. L'illustration sur la pochette est un peu dégueu (sans dec, si un jour vous enregistez un album, vous seriez prêts, vous, à mettre la photo d'un lustre en couverture?), et même le carton bleu ciel de l'édition limitée ne fait pas honneur au contenu musical.
Il y a des artistes qu'on aime détester, des branleurs finis, à l'allure rock'n'roll, destroy et à l'image volontairement écornée, des Pete Doherty, souvent blindés de talent, mais qui la ramènent tellement qu'on finit par ne plus y croire.
Et donc, il y a Vampire Weekend, soit Ezra Koenig, Rostam Batmanglij, Chris Tomson et Chris Baio. On n'écoute pas Vampire Weekend pour la pochette ou pour les types qui chantent, quatre gamins proprets et hypes qui ne craignent pas de ne pas avoir l'air rock. Au reste, ils n'en ont pas besoin.
Une seule écoute suffit. Le premier album du quartet new yorkais est d'une beauté confondante. 11 morceaux d'une pop élégante et brillante sublimée par une production parfaite, rien de moins que cela. Au fond, c'est tout ce à quoi doit servir la production : sublimer chaque instrument, perfectionner la netteté du son et enjoliver la voix.
Dès l'ouverture du disque, on tombe sous le charme de cette musique lumineuse, portée par la voix sublime d'Ezra Koenig qui, à défaut de ne pas avoir le nom entier d'une marque de bière, possède un organe enviable, proche de celui de Pete Doherty, en moins bousillé.
Les tubes s'enchaînent donc et le rythme ne faiblit jamais. Choc monumental avec "A-Punk", habillé d'une pop survitaminée qui suit admirablement le flow d'Ezra (qui a fait du rap dans sa jeunesse et ça se voit presque). Le cocktail entre la mélodie et la voix, soutenu par des claviers énergiques, fait merveille.
"Cape Cod Kwassa-Kwassa", autre sommet du disque, est du même acabit. Bon, c'est seulement la chose qu'on peut reprocher à ce disque, son manque de variété. Merde, ils pourraient insuffler de la médiocrité au milieu de cette beauté, que ce qui est magnifique le semble encore plus?
Bref, je ne saurais assez vous convaincre de vous jeter sur ce disque extraordinaire, habité d'une énergie sans égale.
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 14 juillet 2008 à 14 h 54 |
Encore un groupe directement catalogué dès sa première apparition comme phénomène de l'année réinventant le rock ayant soit disant atteint se limites. D'un le rock est une étiquette bien trop large pour qualifier de manière impartiale un genre (on sent les critiques en manque d'inspiration). Et donc dès qu'on s'efforce de décrire un tant soit peu le disque concerné même avec de simples adjectifs on remarque que cette musique chère à nos coeurs n'a jamais été en perte de vitesse et ne le sera vraisemblablement jamais. Ensuite de deux et je fais court Vampire Weekend n'est sûrement pas le messie que l'on attendait pour créer l'évènement cette année au même titre que MGMT d'ailleurs. Qu'est ce que cet éponyme alors si ce n'est que des alchimistes de pacotilles? Tout simplement des américains ayant inventé la recette de l'omelette sans casser les oeufs. Pratique lorsqu'on ne veut pas prendre de risques, rester lisse sans oser le vernis et que l'on n'a rien à dire. Le combo semble vouloir arriver au paroxysme de l'ennui et du kitsch. Et ils ne s'en sortent pas si mal que ça. Instrumentation minimale reposant sur des riffs vus vingt fois ("A-Punk" au ska squelettique), un clavier creux made in China ("Oxford Coma" tout est dit), des rythmes 'exotiques' qui consistent à taper sur les premiers bouts de bois tombés sous la main ("Cape Cod Kwassa" d'une efficacité percutante !) et surtout un chanteur d'un charisme aussi compétitif que Douste-Blasy. Et tout ça avec la mollesse et la fraîcheur d'un Flanby bien dégoulinant. Bref la totale, tout cela plié en à peine trente minutes, histoire de faire le minimum syndical mais de se barrer avant d'avoir la trace de l'oreiller collé sur la joue pour la journée. Vampire Weekend, groupe de collégiens pour faire danser les copains au bal de fin d'année ou plutôt des zombies dépourvus d'intelligence et de conscience. Et encore, les dernières générations de Romero foutraient vite le camp les bras tendus droit devant bien sûr (comme les titres qui ne cachent pas longtemps la même raideur fatiguante) ou peut-être sur les oreilles qui sait ? Un disque pas bien cher qui aurait pu redonner le moral aux Français dépités face à la baisse du pouvoir d'achat (ah si c'était que ça...) s'il ne s'était pas vite avéré être un leurre comme on commence à bien les connaître. En deux temps trois mouvements, on a perdu notre thune, notre temps et notre sens de l'humour. C'est con à la place on aurait pu faire une bonne sieste pépère, chapeau de paille et bière bien fraîche. Ca aurait été bien plus dépaysant...
Insipide 7/20
Posté le 20 septembre 2008 à 12 h 16 |
Vous rentrez ici dans un monde plein de couleurs, mauvais pour les dents, la candeur niaise, le bal musette rock'n roll, french kankan powa.
Car... voici Vampire Weekend venu vampiriser votre si studieux week-end. Quatre bonhommes ricains qui n'ont rien trouvé de mieux que de sortir un album déjanté après l'obtention d'un diplôme de musicologie. Préparez-vous à voir sortir Mesdames pomponnées sautillant frénétiquement, peinturlurées de couleurs à vous faire vomir, affublées de leur célèbre ‘Ho Ho Ho', sur une bâtarde gigue écossaise. Horrible vous dites ? Salvateur !
Dans l'ordre des choses, Vampire Weekend se fait dorer sous un soleil Beachéen, par une sèche chaleur libertine, vous voyez les vox ? Bon, rajoutez-y notre bien aimé Bontempi, leur petit chouchou, à la mode cheap numérique bien comme il faut ; un pastiche de classique de l'âge d'or est de mise, de même que la disco bon marché, elle aussi dans la hype ; sans oublier l'âme de Sting qui transparaît parfois à travers notre chanteur préféré. Tout ça dans une joie frénétique.
Ne nous leurrons pas (bien que je ne m'efforce surtout pas de comprendre les paroles), ceux-là sont des joyeux lurons, qui vont vous remettre le sourire, et tout est bon pour arriver à leur fin. Car on peut le dire, dans un monde alternatif/indépendant, on a plus tendance à virer au dépressif, et cette joie est ici d'un grand bien insoupçonné. Marre de nos idoles dépressifs et nombrilistes, place aux amis kankan sans prise de tête aucune.
Allez histoire de dire qu'ils peuvent quand même être sérieux, ils nous sortent "I Stand Corrected", et relève comme tant d'autre le défi de la chanson pop parfaite.
The Vampire Weekend est dans l'air du temps c'est certain, allant de la disco, du cheap numérique, aux rythmiques africaines... On pense notamment à leur confrère MGMT, mais qui à leur différence ont réalisé un album homogène, intéressant et jouissif du début jusqu'à la fin.
Moi j'y retourne, Blake's goes a new face!!!
PS: attention aux dents quand même...
Car... voici Vampire Weekend venu vampiriser votre si studieux week-end. Quatre bonhommes ricains qui n'ont rien trouvé de mieux que de sortir un album déjanté après l'obtention d'un diplôme de musicologie. Préparez-vous à voir sortir Mesdames pomponnées sautillant frénétiquement, peinturlurées de couleurs à vous faire vomir, affublées de leur célèbre ‘Ho Ho Ho', sur une bâtarde gigue écossaise. Horrible vous dites ? Salvateur !
Dans l'ordre des choses, Vampire Weekend se fait dorer sous un soleil Beachéen, par une sèche chaleur libertine, vous voyez les vox ? Bon, rajoutez-y notre bien aimé Bontempi, leur petit chouchou, à la mode cheap numérique bien comme il faut ; un pastiche de classique de l'âge d'or est de mise, de même que la disco bon marché, elle aussi dans la hype ; sans oublier l'âme de Sting qui transparaît parfois à travers notre chanteur préféré. Tout ça dans une joie frénétique.
Ne nous leurrons pas (bien que je ne m'efforce surtout pas de comprendre les paroles), ceux-là sont des joyeux lurons, qui vont vous remettre le sourire, et tout est bon pour arriver à leur fin. Car on peut le dire, dans un monde alternatif/indépendant, on a plus tendance à virer au dépressif, et cette joie est ici d'un grand bien insoupçonné. Marre de nos idoles dépressifs et nombrilistes, place aux amis kankan sans prise de tête aucune.
Allez histoire de dire qu'ils peuvent quand même être sérieux, ils nous sortent "I Stand Corrected", et relève comme tant d'autre le défi de la chanson pop parfaite.
The Vampire Weekend est dans l'air du temps c'est certain, allant de la disco, du cheap numérique, aux rythmiques africaines... On pense notamment à leur confrère MGMT, mais qui à leur différence ont réalisé un album homogène, intéressant et jouissif du début jusqu'à la fin.
Moi j'y retourne, Blake's goes a new face!!!
PS: attention aux dents quand même...
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