Matt Elliott
The Mess We Made |
Label :
Domino |
||||
L'homme qui se cachait derrière Third Eye Foundation revient après deux ans de silence, sous son véritable nom cette fois-ci.
Et tout comme le nom du projet, la musique elle aussi a nettement évoluée. Matt Elliott troc les beats drum&bass torturés et les ambiances cauchemardesques de Third Eye Foundation (que j'apprécie tout autant...) au profit d'instruments acoustiques. Guitares samplées, pianos discrets, voix éthérées, bruits étranges et coeurs lointains, cet opus est nettement plus minimal et semble plus humain.
Mais l'ombre de Third Eye Foudation rôde toujours, et apparaît comme une délivrance sur le morceau 'clef de voûte' de l'album : The Mess We Made.
Accompagné au violoncelle par Chris Cole (aka Manyfingers), Matt Elliott est le seul maître à bord de cet OVNI. The Mess We Made est un véritable travail d'introspection, de réflexion sur la musique et marque virage net dans son œuvre, bijoux de schizophrénie. Largement supérieur a son successeur, Drinking Songs, cet album frôle la perfection et mérite légitimement la mention ‘Intemporel'. Cap vers des territoires musicaux inconnus dans un navire en perdition...
Et tout comme le nom du projet, la musique elle aussi a nettement évoluée. Matt Elliott troc les beats drum&bass torturés et les ambiances cauchemardesques de Third Eye Foundation (que j'apprécie tout autant...) au profit d'instruments acoustiques. Guitares samplées, pianos discrets, voix éthérées, bruits étranges et coeurs lointains, cet opus est nettement plus minimal et semble plus humain.
Mais l'ombre de Third Eye Foudation rôde toujours, et apparaît comme une délivrance sur le morceau 'clef de voûte' de l'album : The Mess We Made.
Accompagné au violoncelle par Chris Cole (aka Manyfingers), Matt Elliott est le seul maître à bord de cet OVNI. The Mess We Made est un véritable travail d'introspection, de réflexion sur la musique et marque virage net dans son œuvre, bijoux de schizophrénie. Largement supérieur a son successeur, Drinking Songs, cet album frôle la perfection et mérite légitimement la mention ‘Intemporel'. Cap vers des territoires musicaux inconnus dans un navire en perdition...
Intemporel ! ! ! 20/20 | par Bastox |
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