Emilie Simon
La Marche De L'empereur |
Label :
Barclay |
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Qu'il est bon de se laisser bercer par les douces mélodies, par la tendre voix de la belle Emilie Simon.
Après que soit sorti son premier album éponyme, qui eu quand même le mérite de séduire nombres de mélomanes avertis, la 'bidouilleuse' française nous revient, non pas avec un nouvel album (au sens propre du terme), mais une bande originale, chantée exclusivement en anglais : La Marche De L'Empereur.
N'ayant pas (encore) vu le film de Luc Jacquet, je me suis laissé aller à considérer ce disque comme une œuvre à part entière. Aucune image pour interférer ma perception de la musique-à-Emilie.
Malgré son titre, le morceau "The Frozen World" fait immédiatement fondre l'auditeur. Les violons vont et viennent à leur guise, la voix surgit de chaque côtés, ainsi qu'une multitude d'autres sonorités que je ne suis pas parvenu à identifier (désolé, j'suis pas un bidouilleur, moi !) mais qu'importe, le tout s'harmonise tellement bien !
S'ensuivent les chœurs de "Antartic", le très 'radiohead-björkesque' titre "The Egg", reprenant la partie mélodique de "The Frozen World", "Song of the sea".
Mention toute particulière pour le sympathique morceau instrumental "Baby Penguins" qui s'accomplit véritablement grâce à un autre titre de cet album "All Is White".
Parmi les autres titres à retenir véritablement : "Attack Of The Killerbirds" (on ne sait pas à quoi ils ressemblent ces oiseaux tueurs, mais vu la noirceur de morceau, ils ne doivent pas être bien sympathiques !), la tornade "Song Of The Storm" qui nous entraîne dans un véritable tourbillon des sons, "To The Dancer On The Ice" qui nous renvoie à un certain premier album éponyme et un "To The Dancer In The Rain" (et accessoirement, le début me rappelle terriblement une autre chanson... mais bon... let it be !).
Ce voyage au pays des empereurs se termine par la bonus track "Ice Girl", débutant tout en tendresse, montant lentement, mais sûrement ,en puissance avant de nous prendre par la main et de nous ramener, tout en douceur, loin de ce sol gelé qu'on regrette déjà d'avoir quitté.
Décidément, qu'il est bon de se laisser bercer par les douces mélodies, par la tendre voix de la belle Emilie !
Après que soit sorti son premier album éponyme, qui eu quand même le mérite de séduire nombres de mélomanes avertis, la 'bidouilleuse' française nous revient, non pas avec un nouvel album (au sens propre du terme), mais une bande originale, chantée exclusivement en anglais : La Marche De L'Empereur.
N'ayant pas (encore) vu le film de Luc Jacquet, je me suis laissé aller à considérer ce disque comme une œuvre à part entière. Aucune image pour interférer ma perception de la musique-à-Emilie.
Malgré son titre, le morceau "The Frozen World" fait immédiatement fondre l'auditeur. Les violons vont et viennent à leur guise, la voix surgit de chaque côtés, ainsi qu'une multitude d'autres sonorités que je ne suis pas parvenu à identifier (désolé, j'suis pas un bidouilleur, moi !) mais qu'importe, le tout s'harmonise tellement bien !
S'ensuivent les chœurs de "Antartic", le très 'radiohead-björkesque' titre "The Egg", reprenant la partie mélodique de "The Frozen World", "Song of the sea".
Mention toute particulière pour le sympathique morceau instrumental "Baby Penguins" qui s'accomplit véritablement grâce à un autre titre de cet album "All Is White".
Parmi les autres titres à retenir véritablement : "Attack Of The Killerbirds" (on ne sait pas à quoi ils ressemblent ces oiseaux tueurs, mais vu la noirceur de morceau, ils ne doivent pas être bien sympathiques !), la tornade "Song Of The Storm" qui nous entraîne dans un véritable tourbillon des sons, "To The Dancer On The Ice" qui nous renvoie à un certain premier album éponyme et un "To The Dancer In The Rain" (et accessoirement, le début me rappelle terriblement une autre chanson... mais bon... let it be !).
Ce voyage au pays des empereurs se termine par la bonus track "Ice Girl", débutant tout en tendresse, montant lentement, mais sûrement ,en puissance avant de nous prendre par la main et de nous ramener, tout en douceur, loin de ce sol gelé qu'on regrette déjà d'avoir quitté.
Décidément, qu'il est bon de se laisser bercer par les douces mélodies, par la tendre voix de la belle Emilie !
Parfait 17/20 | par Mojo Pin |
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