Milemarker
Ominosity |
Label :
Eyeball |
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Quatre ans ! Il aura fallu quatre longues années à Milemarker pour sortir son nouvel opus Ominosity. Que l'attente fut longue !
Bon, d'accord... il est vrai qu'on a entre-temps eu droit à l'EP Satanic Versus mais aussi au premier album de leur nouveau projet répondant au nom de Challenger. D'ailleurs, cette insupportable impatience aura été encore plus épuisante suite à ce projet qui s'est révélé, il est vrai, très décevant.
En août 2005, Milemarker annonce sur son site avoir terminé l'enregistrement de son nouveau petit et le qualifie, après un travail éprouvant, comme le plus abouti de toute sa discographie. Plus que deux mois à attendre...
A-F-F-O-L-A-N-T ! Ce mot, que j'utilisais pour qualifier le groupe, on peut également l'utiliser pour définir Ominosity mais... différemment.
C'est en effet assez incompréhensible qu'un groupe aussi lumineux et talentueux sorte une saleté pareille, surtout après un quatuor d'années.
Le déception est immense, et l'ennui existe profondément.
La fougue est totalement absente sur le biscuit rond ; on a même droit à des passages presque muets, plongés dans le calme et dénudés du moindre intérêt.
Milemarker fait parfois mine de fredonner un titre à la hauteur de ce dont ils étaient capables autrefois mais ça ne dépasse jamais les dix secondes.
C'est peu original, c'est lent et chiant. Désolé.
Quand on regarde la pochette signalant un réverbère, on veut croire que cette lueur est le fil conducteur de l'album et qu'il faut tenir bon, que quelque chose nous attend quand même à la fin. Pourtant, Ominosity s'enfoncera du début à la fin dans une sombre précarité. Pas la moindre étincelle : Rien !
Ce qu'on peut redouter avec ce genre d'album, c'est qu'il mette en péril la suite de la carrière d'un groupe qui reste malgré tout génialissime. Croisons les doigts...
En attendant, en cette année 2005, Ominosity se range à côté du Worlds Apart de Trail Of Dead dans la catégorie "Valeur sûre sortant un album plus que médiocre".
Bon, d'accord... il est vrai qu'on a entre-temps eu droit à l'EP Satanic Versus mais aussi au premier album de leur nouveau projet répondant au nom de Challenger. D'ailleurs, cette insupportable impatience aura été encore plus épuisante suite à ce projet qui s'est révélé, il est vrai, très décevant.
En août 2005, Milemarker annonce sur son site avoir terminé l'enregistrement de son nouveau petit et le qualifie, après un travail éprouvant, comme le plus abouti de toute sa discographie. Plus que deux mois à attendre...
A-F-F-O-L-A-N-T ! Ce mot, que j'utilisais pour qualifier le groupe, on peut également l'utiliser pour définir Ominosity mais... différemment.
C'est en effet assez incompréhensible qu'un groupe aussi lumineux et talentueux sorte une saleté pareille, surtout après un quatuor d'années.
Le déception est immense, et l'ennui existe profondément.
La fougue est totalement absente sur le biscuit rond ; on a même droit à des passages presque muets, plongés dans le calme et dénudés du moindre intérêt.
Milemarker fait parfois mine de fredonner un titre à la hauteur de ce dont ils étaient capables autrefois mais ça ne dépasse jamais les dix secondes.
C'est peu original, c'est lent et chiant. Désolé.
Quand on regarde la pochette signalant un réverbère, on veut croire que cette lueur est le fil conducteur de l'album et qu'il faut tenir bon, que quelque chose nous attend quand même à la fin. Pourtant, Ominosity s'enfoncera du début à la fin dans une sombre précarité. Pas la moindre étincelle : Rien !
Ce qu'on peut redouter avec ce genre d'album, c'est qu'il mette en péril la suite de la carrière d'un groupe qui reste malgré tout génialissime. Croisons les doigts...
En attendant, en cette année 2005, Ominosity se range à côté du Worlds Apart de Trail Of Dead dans la catégorie "Valeur sûre sortant un album plus que médiocre".
Insipide 7/20 | par X_Cosmonaut |
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