Godflesh
Songs Of Love And Hate |
Label :
Earache |
||||
Retour à un déchainement de violence aveugle ...
Après Selfless que l'on pourrait qualifier de heavy cold wave, de cold metal..... enfin un truc comme ça, Godflesh revient avec Songs Of Love And Hate (ce n'est pas le premier clin d'oeil de Broadrick à Leonard Cohen) extrème, d'une sauvagerie insondable, sanglant... Aucun temps mort, le tempo s'accélère (ne vous attendez tout de même pas à du speed metal, c'est Godflesh tout de même), et l'ambiance redevient surtout sanglante.
"Wake" en ouverture donne le ton rythmique martiale son de guitare on ne peut plus saturé. "Sterile Prophet" enfonce le clou, tandis que "Hunter" devient groovy.
On cherche un bol d'air, mais non "Gift From Heaven" est la pire de vos migraines. "Angel's Domain" le riff est lourd mais reste aérien... et non,
au bout de trois mesures on nous rappelle gentiment que nous sommes enfermés dans un abbatoir. Seul "Frail" nous permet de respirer: Justin Broadrick n'hurle plus, plus la force au bout du rouleau, et découvre une voix poignante sur un morceau tout simplement effarant tant il semble humain à coté du reste de cet agrégé de barbarie.
Songs Of Love And Hate: un essai gratuit pour une scéance d'ecquarissage.
Après Selfless que l'on pourrait qualifier de heavy cold wave, de cold metal..... enfin un truc comme ça, Godflesh revient avec Songs Of Love And Hate (ce n'est pas le premier clin d'oeil de Broadrick à Leonard Cohen) extrème, d'une sauvagerie insondable, sanglant... Aucun temps mort, le tempo s'accélère (ne vous attendez tout de même pas à du speed metal, c'est Godflesh tout de même), et l'ambiance redevient surtout sanglante.
"Wake" en ouverture donne le ton rythmique martiale son de guitare on ne peut plus saturé. "Sterile Prophet" enfonce le clou, tandis que "Hunter" devient groovy.
On cherche un bol d'air, mais non "Gift From Heaven" est la pire de vos migraines. "Angel's Domain" le riff est lourd mais reste aérien... et non,
au bout de trois mesures on nous rappelle gentiment que nous sommes enfermés dans un abbatoir. Seul "Frail" nous permet de respirer: Justin Broadrick n'hurle plus, plus la force au bout du rouleau, et découvre une voix poignante sur un morceau tout simplement effarant tant il semble humain à coté du reste de cet agrégé de barbarie.
Songs Of Love And Hate: un essai gratuit pour une scéance d'ecquarissage.
Très bon 16/20 | par Lolive |
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