Spoon
Gimme Fiction |
Label :
Merge |
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Spoon est un groupe qui me parraissait tout sauf "sexy" et pour cause: un nom à coucher dehors (Spoon signifie cuillére en anglais), directement importé d'Austin au Texas et enfin une discographie étonnament fournie pour un groupe qui n'à pas fait grand bruit jusqu'à présent.
Cependant l'habit ne fait pas le moine et j 'allais m'en rendre compte un certain soir d'avril au Krakatoa ou cette sympatique bande de Texans enmenée par Britt Daniel (songwritter et guitariste) jouait en première partie d'Interpol. Set impeccable, chansons accrocheuses sans même les avoir déja entendues et prestation scenique habitée bien qu'un brin éthilyque.
Voilà pour les présentations, rentrons à présent dans le coeur du sujet à savoir leur sixiéme effort le dénommé Gimme Fiction. D'entrée de jeux ils attaquent fort avec "The Beast And Drangon, Adored": refrain en forme d'hymne de poche, guitare agréablement stridente le tout magistralement surligné par le clavier et la basse.
Suivent ensuite de facon non exhaustive le dansant "I Turn My Camera On", l'entrainant "Sister Jack" qui laisse place sur la piste suivante à la douce mélancolie de "I Summon You"... Mais stop, trêve de qualificatifs: cet album s'écoute comme un tout, aucun des morceaux ne sortant vraiment du lot à part le premier morceau mais cela reste tout à fait subjectif, et pour l'apprécier à sa juste valeur il faut se laisser porter par les morceaux, se laisser bercer par la voie de Britt Daniel, par le clavier d'Eric Harvey: par les diverses ambiances que dégagent chacun des morceaux.
C'est ainsi que cet album s'immiscera lentement, quasi sournoisement dans un coin de votre tête jusqu'à ne plus vous lâcher...
Cependant l'habit ne fait pas le moine et j 'allais m'en rendre compte un certain soir d'avril au Krakatoa ou cette sympatique bande de Texans enmenée par Britt Daniel (songwritter et guitariste) jouait en première partie d'Interpol. Set impeccable, chansons accrocheuses sans même les avoir déja entendues et prestation scenique habitée bien qu'un brin éthilyque.
Voilà pour les présentations, rentrons à présent dans le coeur du sujet à savoir leur sixiéme effort le dénommé Gimme Fiction. D'entrée de jeux ils attaquent fort avec "The Beast And Drangon, Adored": refrain en forme d'hymne de poche, guitare agréablement stridente le tout magistralement surligné par le clavier et la basse.
Suivent ensuite de facon non exhaustive le dansant "I Turn My Camera On", l'entrainant "Sister Jack" qui laisse place sur la piste suivante à la douce mélancolie de "I Summon You"... Mais stop, trêve de qualificatifs: cet album s'écoute comme un tout, aucun des morceaux ne sortant vraiment du lot à part le premier morceau mais cela reste tout à fait subjectif, et pour l'apprécier à sa juste valeur il faut se laisser porter par les morceaux, se laisser bercer par la voie de Britt Daniel, par le clavier d'Eric Harvey: par les diverses ambiances que dégagent chacun des morceaux.
C'est ainsi que cet album s'immiscera lentement, quasi sournoisement dans un coin de votre tête jusqu'à ne plus vous lâcher...
Très bon 16/20 | par SickBoy |
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