Stereolab
Peng ! |
Label :
Too Pure |
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Un riff électrique passé en boucle sur lequel vient se déposer doucement une voix chaude et hypnotique, celle de Laetitia Sadier, et c'est tout un vertige onirique qui nous entraîne. Des répétitions hallucinantes comme autant de décollages à coup de cordes de guitares, de saturations caressantes et de looping contrôlés. On dirait une musique venue d'ailleurs, étrange, envoûtante et planante.
Avant de s'orienter vers l'expérimentation et devenir une icône culte de la pop avant-gardiste, Stereolab, comme de nombreux autres groupes anglais, s'épanouissait dans un shoegazing tranquille et mélodique, à base de voix légère et de sons toutes guitares dehors.
Parce que ce mouvement unique faisait la part belle aux femmes (My Bloody Valentine, Lush, Bleach, Swallow, Curve...), Stereolab réussit, lors de ses premiers albums mythiques, à conjuguer sortilège sonore et grâce féminine avec un talent hors norme.
Agémenté de quelques touches électro, cet album nous apparaît comme une véritable bulle de fantaisie flashy et aveuglante. De délicates chansons pour un début incroyable, intelligent et arty, qui allait lancer une carrière immensément respectée.
Avant de s'orienter vers l'expérimentation et devenir une icône culte de la pop avant-gardiste, Stereolab, comme de nombreux autres groupes anglais, s'épanouissait dans un shoegazing tranquille et mélodique, à base de voix légère et de sons toutes guitares dehors.
Parce que ce mouvement unique faisait la part belle aux femmes (My Bloody Valentine, Lush, Bleach, Swallow, Curve...), Stereolab réussit, lors de ses premiers albums mythiques, à conjuguer sortilège sonore et grâce féminine avec un talent hors norme.
Agémenté de quelques touches électro, cet album nous apparaît comme une véritable bulle de fantaisie flashy et aveuglante. De délicates chansons pour un début incroyable, intelligent et arty, qui allait lancer une carrière immensément respectée.
Bon 15/20 | par Vic |
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