Coalesce
0:12 Revolution In Just Listening |
Label :
Relapse |
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Pour la petite anecdote, ce troisième album de Coalesce est sorti après le split du groupe et a fait les gorges chaudes des tops de l'époque. D'abord chez Relapse, puis réédité par Hydra Head, vous imaginez l'ampleur du monstre enfanté.
Il n'est effectivement pas usurpé que de considérer 0:12 Revolution in Just Listening comme étant probablement la meilleure performance studio des Américains. En effet, tout au cours de ces neuf titres me semble avoir été poussé à son paroxysme : le chant hardcore incroyable de Sean Ingram, la versatilité rythmique de James Dewees, l'inventivité des riffs de Jes Steineger et enfin la basse destructrice de Nathan Ellis. Et si vous foutez tout cela au service d'un mathcore colossal, bourré de cassures abruptes, de pure violence frontale et de swings à contre-temps, bah ça déménage dur.
0:12 Revolution in Just Listening est typiquement le genre d'album qui se mange d'une traite en te laissant un bon gros parpaing sur le bide. Addiction immédiate.
Il n'est effectivement pas usurpé que de considérer 0:12 Revolution in Just Listening comme étant probablement la meilleure performance studio des Américains. En effet, tout au cours de ces neuf titres me semble avoir été poussé à son paroxysme : le chant hardcore incroyable de Sean Ingram, la versatilité rythmique de James Dewees, l'inventivité des riffs de Jes Steineger et enfin la basse destructrice de Nathan Ellis. Et si vous foutez tout cela au service d'un mathcore colossal, bourré de cassures abruptes, de pure violence frontale et de swings à contre-temps, bah ça déménage dur.
0:12 Revolution in Just Listening est typiquement le genre d'album qui se mange d'une traite en te laissant un bon gros parpaing sur le bide. Addiction immédiate.
Parfait 17/20 | par Arno Vice |
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