Trust
The Destroyer - Part One |
Label :
Grouch |
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Robert Alfons désormais seul aux commandes du navire TR/ST (à prononcer Trust sans autre point commun avec notre Bernie national) a pris beaucoup de recul pour produire et réaliser ce troisième album qui n'est en fait que la première partie de son projet "Destroyer" dont le second opus devrait sortir fin d'année 2019.
Enchanté par Trst et Joyland, les deux premiers opus qui proposaient une sorte de cold wave électronique dansante et mélancolique sur une voix particulièrement reconnaissable (c'est le timbre de Alfons qui fera qu'on adhère ou pas à son tourbillon dark), je ne cache pas avoir été assez déçu de ma première écoute.
L'album est court avec 8 titres dont la durée de chacun n'excède pas 5 mn à l'exception du premier titre "Colossal" et l'ambiance semble beaucoup plus guillerette que précédemment. Fatale erreur ! Plusieurs écoutes sont nécessaires afin d'en gratter la couche supérieure et de découvrir quelques aspérités. Si on pense d'abord à un album de Depeche Mode façon Speak and Spell (dont Alfons rend un subtil hommage musical dans "Poorly Coward" en reprenant "Everything Counts" enfin vous écouterez), on tombe sous le charme de "Bicep", "Colossal" ou "Wake With".
En fait Alfons a voulu dissocier son album en 2 parties différentes une plus sombre et l'autre plus accessible (un peu comme Tarantino et son Kill Bill aux 2 parties bien distinctes), il s'agit ici du disque "accessible".
Il est à noter de surcroît que le vinyle est superbe avec ses taches colorées indescriptibles, un petit plus non négligeable qui me fera patienter jusqu'à Destroyer Part 2.
Enchanté par Trst et Joyland, les deux premiers opus qui proposaient une sorte de cold wave électronique dansante et mélancolique sur une voix particulièrement reconnaissable (c'est le timbre de Alfons qui fera qu'on adhère ou pas à son tourbillon dark), je ne cache pas avoir été assez déçu de ma première écoute.
L'album est court avec 8 titres dont la durée de chacun n'excède pas 5 mn à l'exception du premier titre "Colossal" et l'ambiance semble beaucoup plus guillerette que précédemment. Fatale erreur ! Plusieurs écoutes sont nécessaires afin d'en gratter la couche supérieure et de découvrir quelques aspérités. Si on pense d'abord à un album de Depeche Mode façon Speak and Spell (dont Alfons rend un subtil hommage musical dans "Poorly Coward" en reprenant "Everything Counts" enfin vous écouterez), on tombe sous le charme de "Bicep", "Colossal" ou "Wake With".
En fait Alfons a voulu dissocier son album en 2 parties différentes une plus sombre et l'autre plus accessible (un peu comme Tarantino et son Kill Bill aux 2 parties bien distinctes), il s'agit ici du disque "accessible".
Il est à noter de surcroît que le vinyle est superbe avec ses taches colorées indescriptibles, un petit plus non négligeable qui me fera patienter jusqu'à Destroyer Part 2.
Très bon 16/20 | par Jetjet |
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