Sun Club
The Dongo Durango |
Label :
ATO |
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[Chronique en aveugle #14] Le rédacteur ne savait rien de l'identité de l'artiste dont il a chroniqué le présent album.
Un rire en guise d'introduction, un rire joyeux qui se transforme assez vite en rire psychotique... Allons nous côtoyer des fous ? Un roulement de tom basse plein d'échos entre en scène, de suite à l'écoute de ce son assez caractéristique on a deux options : soit on est face à un groupe influencé par Sigur Rós, soit par Animal Collective. La deuxième piste nous le confirme directement – célébration du rim stroke –, ce sera par Animal Collective circa 2005 Feels – les enfants de "The Purple Bottle".
Rythmique très entraînante, chœurs puissants chantés à l'unisson (leurs concerts doivent être impressionnant), l'énergie est bien là, ça résonne dans tous les sens à tel point qu'il est assez difficile de comprendre les paroles, mais on s'en fout la musique est tellement bonne, profitons ! Pas vraiment d'envolées guitaristiques, les notes jouées sont souvent douces et permettent de donner un côté aérien au spectre musical aidées de petites cloches résonnant ici et là, oh il y a bien de la disto' de temps en temps histoire de donner encore plus de pêche au tout (surtout sur la Face B), mais ça n'est jamais une agression sonore, au contraire c'est parfois même dansant.
La force de leur son c'est les voix et surtout les percussions/la batterie, un peu comme certains singles d'Imagine Dragons d'ailleurs, le côté "electro epic stadium" en moins. Je ne sais pas s'il y a plusieurs batteurs ou si c'est simplement le fait de mettre de la reverb partout qui donne cet impressionnant mur du son.
Petite récréation sonore, la piste 07 que l'on croirait tout droit sortie d'un épisode de la série Community où Abed chanterait "In the flesh, I want you to see me ! HA HA !" au Ukulele... ça n'a rien à faire là, mais c'est marrant... et ça n'a rien à faire là...
Ce disque c'est un peu l'exemple qu'un seul album voire une ou deux chansons seulement peuvent fortement influencer l'identité sonore d'un groupe. Heureusement ils ne copient pas le matériel original, ils se développent à partir de cette base et ma foi, ça passe plutôt très bien ! Au final ils ne sont pas fous, ils sont juste très passionnés.
Un rire en guise d'introduction, un rire joyeux qui se transforme assez vite en rire psychotique... Allons nous côtoyer des fous ? Un roulement de tom basse plein d'échos entre en scène, de suite à l'écoute de ce son assez caractéristique on a deux options : soit on est face à un groupe influencé par Sigur Rós, soit par Animal Collective. La deuxième piste nous le confirme directement – célébration du rim stroke –, ce sera par Animal Collective circa 2005 Feels – les enfants de "The Purple Bottle".
Rythmique très entraînante, chœurs puissants chantés à l'unisson (leurs concerts doivent être impressionnant), l'énergie est bien là, ça résonne dans tous les sens à tel point qu'il est assez difficile de comprendre les paroles, mais on s'en fout la musique est tellement bonne, profitons ! Pas vraiment d'envolées guitaristiques, les notes jouées sont souvent douces et permettent de donner un côté aérien au spectre musical aidées de petites cloches résonnant ici et là, oh il y a bien de la disto' de temps en temps histoire de donner encore plus de pêche au tout (surtout sur la Face B), mais ça n'est jamais une agression sonore, au contraire c'est parfois même dansant.
La force de leur son c'est les voix et surtout les percussions/la batterie, un peu comme certains singles d'Imagine Dragons d'ailleurs, le côté "electro epic stadium" en moins. Je ne sais pas s'il y a plusieurs batteurs ou si c'est simplement le fait de mettre de la reverb partout qui donne cet impressionnant mur du son.
Petite récréation sonore, la piste 07 que l'on croirait tout droit sortie d'un épisode de la série Community où Abed chanterait "In the flesh, I want you to see me ! HA HA !" au Ukulele... ça n'a rien à faire là, mais c'est marrant... et ça n'a rien à faire là...
Ce disque c'est un peu l'exemple qu'un seul album voire une ou deux chansons seulement peuvent fortement influencer l'identité sonore d'un groupe. Heureusement ils ne copient pas le matériel original, ils se développent à partir de cette base et ma foi, ça passe plutôt très bien ! Au final ils ne sont pas fous, ils sont juste très passionnés.
Excellent ! 18/20 | par Beckuto |
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