How To Destroy Angels
How To Destroy Angels |
Label :
The Null Corporation |
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How To Destroy Angels
Chapitre 01 : How To Destroy Angels
Il se réveille dans un monde quasiment apocalyptique, la Terre s'est rebellée, les montagnes ont émergé, les bâtiments se sont pour la plupart écroulés, le soleil a viré au rouge vif, mais deux choses ont survécu, l'Homme et ses créations électroniques... qu'est-ce que cela peut bien signifier ? Il se réveille dans un monde quasiment apocalyptique avec la certitude d'avoir une mission à accomplir, il ne sait pas laquelle ; il entend des voix qui l'appellent, une féminine, une masculine, toujours accompagnées de musique – qui peut bien jouer ? – Il décide de les suivre.
Aucun ordre ne lui est donné, les voix lui murmurent voire lui susurrent des histoires à l'oreille, des messages assez cryptiques qu'il semble le seul à comprendre ("The Space in Between"). La voix masculine semble plus en retrait, arrivant à de rares occasions, comme si c'était elle qui commandait l'autre, qui lui disait quoi dire – est-elle plus dangereuse ? –. Lorsqu'elle se met en avant, l'atmosphère devient plus lourde ("Parasite"), il entend derrière cette voix un beat agressif restant le même sur 5 bonnes minutes, une basse lourde, et des attaques d'effets sonores qui commencent à le déstabiliser ; il devient craintif, se dit que ces voix ne lui veulent pas que du bien et s'enfuit à l'intérieur d'une bâtisse.
Il quitte les territoires apocalyptiques pour entrer dans ce qu'il semble être une boîte de nuit plongée dans la pénombre et à l'ambiance malsaine ("Fur Lined"). Les quelques personnes présentes semblent s'amuser, mais ce n'est plus comme avant, il a l'impression d'être tombé dans un endroit à part qui n'a rien à faire dans ce monde ; il pourrait y rester et vivre avec eux, danser pour l'éternité, mais il a le sentiment que c'est trop, que c'est faux, que tout çà n'est qu'une illusion. Il décide de passer dans l'arrière-salle un peu plus lugubre ("BBB") ; le petit monde qui s'y trouve est en pleine transe, il se demande ce qu'il est venu chercher ici ; un exutoire ? L'Homme et l'électronique ont survécu, la drogue aussi ? Sont-ils tous conscients ? Il croit voir un nouveau genre de rituel chamanique ; des voix répètent sans cesse "Listen To The Sound Of My Big Black Boots", et il commence à perdre la tête, à se sentir partir ailleurs ; avant qu'il n'atteigne le point de non-retour, il s'échappe.
Il ressort avec la certitude qu'au final le monde extérieur est moins dangereux que l'endroit qu'il vient de visiter ("The Believers"), mais ce monde est traitre, d'abord accueillant il revient vite à ce qu'il était auparavant : dangereux, à la fois attirant et repoussant ; on se méfie de tout et de tout le monde. Plus de voix, où sont-ils passés ? "Ils préparent un coup, c'est sûr", il reste sur ses gardes. Les voix reviennent – toujours ces murmures hypnotiques – ils veulent le happer dans leur monde et il se laisse tenter.
Il y est ("A Drowning"), en réalité ces voix étaient là pour le sauver ; l'endroit où elles l'ont emmené est un territoire plus agréable, moins hostile, tout aussi rempli d'objets électroniques, mais à l'ambiance un peu plus légère, même s'il reste des relents d'annonce de destruction imminente – cette terre ne semble pas aussi sécurisée qu'elle en a l'air, un danger approche –. La voix masculine s'est tue... ce n'est pas normal, quelque chose se prépare... quelques notes de piano... écran noir...
Chapitre 01 : How To Destroy Angels
Il se réveille dans un monde quasiment apocalyptique, la Terre s'est rebellée, les montagnes ont émergé, les bâtiments se sont pour la plupart écroulés, le soleil a viré au rouge vif, mais deux choses ont survécu, l'Homme et ses créations électroniques... qu'est-ce que cela peut bien signifier ? Il se réveille dans un monde quasiment apocalyptique avec la certitude d'avoir une mission à accomplir, il ne sait pas laquelle ; il entend des voix qui l'appellent, une féminine, une masculine, toujours accompagnées de musique – qui peut bien jouer ? – Il décide de les suivre.
Aucun ordre ne lui est donné, les voix lui murmurent voire lui susurrent des histoires à l'oreille, des messages assez cryptiques qu'il semble le seul à comprendre ("The Space in Between"). La voix masculine semble plus en retrait, arrivant à de rares occasions, comme si c'était elle qui commandait l'autre, qui lui disait quoi dire – est-elle plus dangereuse ? –. Lorsqu'elle se met en avant, l'atmosphère devient plus lourde ("Parasite"), il entend derrière cette voix un beat agressif restant le même sur 5 bonnes minutes, une basse lourde, et des attaques d'effets sonores qui commencent à le déstabiliser ; il devient craintif, se dit que ces voix ne lui veulent pas que du bien et s'enfuit à l'intérieur d'une bâtisse.
Il quitte les territoires apocalyptiques pour entrer dans ce qu'il semble être une boîte de nuit plongée dans la pénombre et à l'ambiance malsaine ("Fur Lined"). Les quelques personnes présentes semblent s'amuser, mais ce n'est plus comme avant, il a l'impression d'être tombé dans un endroit à part qui n'a rien à faire dans ce monde ; il pourrait y rester et vivre avec eux, danser pour l'éternité, mais il a le sentiment que c'est trop, que c'est faux, que tout çà n'est qu'une illusion. Il décide de passer dans l'arrière-salle un peu plus lugubre ("BBB") ; le petit monde qui s'y trouve est en pleine transe, il se demande ce qu'il est venu chercher ici ; un exutoire ? L'Homme et l'électronique ont survécu, la drogue aussi ? Sont-ils tous conscients ? Il croit voir un nouveau genre de rituel chamanique ; des voix répètent sans cesse "Listen To The Sound Of My Big Black Boots", et il commence à perdre la tête, à se sentir partir ailleurs ; avant qu'il n'atteigne le point de non-retour, il s'échappe.
Il ressort avec la certitude qu'au final le monde extérieur est moins dangereux que l'endroit qu'il vient de visiter ("The Believers"), mais ce monde est traitre, d'abord accueillant il revient vite à ce qu'il était auparavant : dangereux, à la fois attirant et repoussant ; on se méfie de tout et de tout le monde. Plus de voix, où sont-ils passés ? "Ils préparent un coup, c'est sûr", il reste sur ses gardes. Les voix reviennent – toujours ces murmures hypnotiques – ils veulent le happer dans leur monde et il se laisse tenter.
Il y est ("A Drowning"), en réalité ces voix étaient là pour le sauver ; l'endroit où elles l'ont emmené est un territoire plus agréable, moins hostile, tout aussi rempli d'objets électroniques, mais à l'ambiance un peu plus légère, même s'il reste des relents d'annonce de destruction imminente – cette terre ne semble pas aussi sécurisée qu'elle en a l'air, un danger approche –. La voix masculine s'est tue... ce n'est pas normal, quelque chose se prépare... quelques notes de piano... écran noir...
Très bon 16/20 | par Beckuto |
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