Belle And Sebastian
Munich - Allemagne [Kultfabrik] - mardi 23 mai 2006 |
Belle And Sebastian, c'est sympa, mais vite répétitif et un peu mou du genou. Du moins c'est ce que je pensais avant de découvrir les écossais sur scène lors de leur Life Pursuit Tour 2006.
Certes Isobel Campbell n'est plus de la partie et c'est bien dommage, mais Stuart Murdoch n'en a cure, accompagné qu'il est de ses 7 compagnons, plus ou moins anciens dans le groupe et plus ou moins à l'aise avec le leader qui ne porte pas un T-Shirt des Smiths pour rien, singeant à bien des reprises les mouvements de Morrissey.
Certes la comparaison trouvera vite ses limites, mais c'est un vent d'Arcade Fire qui se dégage de la scène, tellement les artistes communiquent avec le public dans une bonne humeur rayonnante. De plus, à chaque morceau ou presque chacun change d'instrument, clavier, violoncelle, trompette et autres xylophone ou violon alto.
Bref, que les chansons soient issues des antiques et glorieux Tigermilk, If You're Feeling Sinister et The Boy With The Arab Strap, ou des plus remuants Dear Catastrophe Waitresse et The Life Pursuit, c'est un même plaisir que d'écouter en remuant bêtement des épaules, le sourire aux lèvres.
Personnellement, j'aurais apprécié plus de vieux airs, "The Boy Done Wrong Again" et "The Fox In The Snow" n'auraient pas été de trop, mais ce concert m'aura définitivement réconcilié avec le tournant plus enlevé que le groupe écossais a opéré ("Another Sunny Day" est vraiment un bijou !!).
1h30 de bonheur simple en communion avec un public de vrais fans (les Allemands sont paradoxalement plus chauds que les audiences françaises), le tout émaillé de moments inoubliables, notamment lorsqu'ils ont la très bonne idée de jouer leur ovni "Electronic Renaissance"; une chose est sûre, si B&S passent près de chez vous, réservez votre place au risque de louper quelque chose !
Certes Isobel Campbell n'est plus de la partie et c'est bien dommage, mais Stuart Murdoch n'en a cure, accompagné qu'il est de ses 7 compagnons, plus ou moins anciens dans le groupe et plus ou moins à l'aise avec le leader qui ne porte pas un T-Shirt des Smiths pour rien, singeant à bien des reprises les mouvements de Morrissey.
Certes la comparaison trouvera vite ses limites, mais c'est un vent d'Arcade Fire qui se dégage de la scène, tellement les artistes communiquent avec le public dans une bonne humeur rayonnante. De plus, à chaque morceau ou presque chacun change d'instrument, clavier, violoncelle, trompette et autres xylophone ou violon alto.
Bref, que les chansons soient issues des antiques et glorieux Tigermilk, If You're Feeling Sinister et The Boy With The Arab Strap, ou des plus remuants Dear Catastrophe Waitresse et The Life Pursuit, c'est un même plaisir que d'écouter en remuant bêtement des épaules, le sourire aux lèvres.
Personnellement, j'aurais apprécié plus de vieux airs, "The Boy Done Wrong Again" et "The Fox In The Snow" n'auraient pas été de trop, mais ce concert m'aura définitivement réconcilié avec le tournant plus enlevé que le groupe écossais a opéré ("Another Sunny Day" est vraiment un bijou !!).
1h30 de bonheur simple en communion avec un public de vrais fans (les Allemands sont paradoxalement plus chauds que les audiences françaises), le tout émaillé de moments inoubliables, notamment lorsqu'ils ont la très bonne idée de jouer leur ovni "Electronic Renaissance"; une chose est sûre, si B&S passent près de chez vous, réservez votre place au risque de louper quelque chose !
Parfait 17/20 | par Hyacinthe |
En ligne
165 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages