The Third Eye Foundation
Paris [Glaz'art] - mercredi 01 septembre 2004 |
Parfois, on passe à coté d'un concert pour des raisons totalement bêtes.
Pour moi, cette fois, ça aura été une bande de crétins, qui ne réalisent pas que s' ils tiennent vraiment à échanger les histoires minables de leurs vies pathétiques, ils peuvent aller dans un bar, plutot qu'à 2 mètres d'une scène de concert ...
Et pourtant, le concert est très bon : organisé à l'occasion de la sortie de son album, au sein de la toute nouvelle collection Oumupo, chez Ici D'Ailleurs, il utilise les contraintes imposées sans s'enfermer dans le piège du mix simple (ce que ne réussira pas à éviter Rubin Steiner). Matt Elliott, lui, utilise les samples, ainsi que la voix de la chanteuse de Madrid, invitée pour l'occasion, comme des idées de départ, détournées, modifiées.
En fin de concert, heureusement, le splendide "Cotard's Syndrome" viendra faire taire les imbéciles, et nous remuera en profondeur.
Pour moi, cette fois, ça aura été une bande de crétins, qui ne réalisent pas que s' ils tiennent vraiment à échanger les histoires minables de leurs vies pathétiques, ils peuvent aller dans un bar, plutot qu'à 2 mètres d'une scène de concert ...
Et pourtant, le concert est très bon : organisé à l'occasion de la sortie de son album, au sein de la toute nouvelle collection Oumupo, chez Ici D'Ailleurs, il utilise les contraintes imposées sans s'enfermer dans le piège du mix simple (ce que ne réussira pas à éviter Rubin Steiner). Matt Elliott, lui, utilise les samples, ainsi que la voix de la chanteuse de Madrid, invitée pour l'occasion, comme des idées de départ, détournées, modifiées.
En fin de concert, heureusement, le splendide "Cotard's Syndrome" viendra faire taire les imbéciles, et nous remuera en profondeur.
Bon 15/20 | par Vince |
Photo par Vince. Merci !
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