Kælan Mikla
Strasbourg [La Laiterie, Salle Club] - vendredi 15 avril 2022 |
Dans la salle club de la Laiterie, ce soir, les trois jeunes femmes nordiques sont attendues avec un enthousiasme révélé dès leur entrée en scène pour une vingtaine de titres (d'après mon bref coup d'œil sur la liste peu de temps avant).
Le très bon "Svört Augu" ouvre le bal polaire pour une soirée où le trio islandais puisera dans son répertoire récent et plus ancien. On peut remarquer entretemps que la chanteuse, Laufey Soffía, les cheveux longs et partiellement bleutés, les ongles pointus au bout de ses bras se mouvant en gestuelles dans les lumières et sa bouche qui sera couverte par l'ombre de son micro tout du long qui captera parfois une voix un peu faible, lance comme un regard de gratitude au public bien accueillant.
Les morceaux défileront, remuant ou dansant sans déplaisir pour certains dès que passeront "Hvernig Kemst Ég Upp?", "Næturblóm" ou encore l'excellent "Skuggadans". "Kalt", petite cousine norroise du "Cold" de The Cure et "Upphaf" rappelleront au premier album datant de 2016. Magnifique, "Hvítir Sandar" figurera en dernière plage, avant le seul et dernier morceau pour le rappel. Une petite déception s'affichera sur la vieille frimousse qui est mienne néanmoins avec "Nótt Eftir Nótt" dont le chant sera à volume en-dessous de celui des instruments lors des refrains, ce qui pénalisera en partie la ballade nocturne et glacée entre les couplets. Dommage que la claviériste, Sólveig, et la bassiste aux cheveux rougeoyants, Margrét, n'aient pu ou voulu accompagner vocalement dans ce titre issu de l'album du même nom, car cela aurait donné des moments du plus bel effet.
Il y aura du monde, peu après au stand des marchandises. Attendra une grande et fine gothique à la chevelure jaune pour satisfaire pas mal d'hommes adultes, partant tels de grands enfants, vinyles, CD, t-shirt et posters sous les bras, comme s'ils venaient de trouver leurs cadeaux de Noël. Une vision assez amusante en ce début de weekend de Pâques.
Le très bon "Svört Augu" ouvre le bal polaire pour une soirée où le trio islandais puisera dans son répertoire récent et plus ancien. On peut remarquer entretemps que la chanteuse, Laufey Soffía, les cheveux longs et partiellement bleutés, les ongles pointus au bout de ses bras se mouvant en gestuelles dans les lumières et sa bouche qui sera couverte par l'ombre de son micro tout du long qui captera parfois une voix un peu faible, lance comme un regard de gratitude au public bien accueillant.
Les morceaux défileront, remuant ou dansant sans déplaisir pour certains dès que passeront "Hvernig Kemst Ég Upp?", "Næturblóm" ou encore l'excellent "Skuggadans". "Kalt", petite cousine norroise du "Cold" de The Cure et "Upphaf" rappelleront au premier album datant de 2016. Magnifique, "Hvítir Sandar" figurera en dernière plage, avant le seul et dernier morceau pour le rappel. Une petite déception s'affichera sur la vieille frimousse qui est mienne néanmoins avec "Nótt Eftir Nótt" dont le chant sera à volume en-dessous de celui des instruments lors des refrains, ce qui pénalisera en partie la ballade nocturne et glacée entre les couplets. Dommage que la claviériste, Sólveig, et la bassiste aux cheveux rougeoyants, Margrét, n'aient pu ou voulu accompagner vocalement dans ce titre issu de l'album du même nom, car cela aurait donné des moments du plus bel effet.
Il y aura du monde, peu après au stand des marchandises. Attendra une grande et fine gothique à la chevelure jaune pour satisfaire pas mal d'hommes adultes, partant tels de grands enfants, vinyles, CD, t-shirt et posters sous les bras, comme s'ils venaient de trouver leurs cadeaux de Noël. Une vision assez amusante en ce début de weekend de Pâques.
Très bon 16/20 | par Pascha |
Première partie vue sur le tard : Töfie
Crédit photo : Myriam M.
Crédit photo : Myriam M.
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