Alamo Race Track
Paris [La Maroquinerie] - mercredi 24 janvier 2007 |
20h30 : Il n'y a pas foule à la Maroquinerie. Les Hollandais de Alamo Race Track sont encore méconnus dans notre pays et pourtant, ce soir, ils nous donneront la preuve irréfutable qu'ils gagnent réellement à étendre leur notoriété.
Leur deuxième album Black Cat John Brown est particulièrement abouti et chaque morceau, si excellent soit-il, se verra transcendé de manière imparable pendant le concert.
Après une première partie ennuyeuse de pop consensuelle et déjà entendue, Adam Kesher pour ne pas la nommer, les amstellodamois captivent d'emblée l'attention du public avec "Beat This Dog", morceau court et ultra énergique. Le second opus sera joué dans sa quasi-intégralité, avec une maîtrise et une passion peu communes. Il est clair qu'Alamo Race Track est aux antipodes de toutes ces formations fades et formatées au look superficiel et à la fausse attitude rock'n'roll. C'est l'énergie que dégage le groupe, leur générosité et leur conviction qui, alliées à la qualité musicale, remporteront l'adhésion du public. Ils donneront tout ce soir.
Parmi une interprétation sans faille, ma préférence ira à "Black Cat John Brown" au charme bluesy, à la bombe incandescente "Lee J. Cobb Is Screaming A Lot" et à "The Northern Territory", hymne intemporel à la croisée de Neil Young à la grande époque et de Cure période The Head On The Door.
Deux rappels nous permettront d'apprécier quelques titres du premier album Birds At Home tels que "Happy Accidents", l'électrochoc euphorisant "We Like To Go On" et enfin l'insolent "Wild Bees", un hommage jovial à "My Generation" des Who... que demander de plus après un final aussi somptueux? Une chose est sûre, ce soir, le public privilégié de la Maroquinerie est devenu inexorablement acquis à la cause du quatuor.
J'ai rarement vu un groupe se livrer autant sur scène, offrir un de ces moments magiques qui nous rappellent les raisons pour lesquelles nous aimons tant la musique.
Alamo Race Track, c'est un chanteur doué et charismatique, un groupe passionné au diapason, c'est aussi la niaque de dEUS, la grâce des Feelies et la poésie de Neil Young... un groupe à part à découvrir absolument en live.
Leur deuxième album Black Cat John Brown est particulièrement abouti et chaque morceau, si excellent soit-il, se verra transcendé de manière imparable pendant le concert.
Après une première partie ennuyeuse de pop consensuelle et déjà entendue, Adam Kesher pour ne pas la nommer, les amstellodamois captivent d'emblée l'attention du public avec "Beat This Dog", morceau court et ultra énergique. Le second opus sera joué dans sa quasi-intégralité, avec une maîtrise et une passion peu communes. Il est clair qu'Alamo Race Track est aux antipodes de toutes ces formations fades et formatées au look superficiel et à la fausse attitude rock'n'roll. C'est l'énergie que dégage le groupe, leur générosité et leur conviction qui, alliées à la qualité musicale, remporteront l'adhésion du public. Ils donneront tout ce soir.
Parmi une interprétation sans faille, ma préférence ira à "Black Cat John Brown" au charme bluesy, à la bombe incandescente "Lee J. Cobb Is Screaming A Lot" et à "The Northern Territory", hymne intemporel à la croisée de Neil Young à la grande époque et de Cure période The Head On The Door.
Deux rappels nous permettront d'apprécier quelques titres du premier album Birds At Home tels que "Happy Accidents", l'électrochoc euphorisant "We Like To Go On" et enfin l'insolent "Wild Bees", un hommage jovial à "My Generation" des Who... que demander de plus après un final aussi somptueux? Une chose est sûre, ce soir, le public privilégié de la Maroquinerie est devenu inexorablement acquis à la cause du quatuor.
J'ai rarement vu un groupe se livrer autant sur scène, offrir un de ces moments magiques qui nous rappellent les raisons pour lesquelles nous aimons tant la musique.
Alamo Race Track, c'est un chanteur doué et charismatique, un groupe passionné au diapason, c'est aussi la niaque de dEUS, la grâce des Feelies et la poésie de Neil Young... un groupe à part à découvrir absolument en live.
Intemporel ! ! ! 20/20 | par Lady Godiva |
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