Arab Strap
Paris [Trabendo] - mardi 28 novembre 2006 |
Dernier concert en France pour Arab Strap, le groupe ayant annoncé sa séparation à la suite de cette tournée.
Ambiance bizarre, très peu de monde avant la première partie, et on peut apercevoir Malcolm Middletom (guitariste et compositeur du groupe) errer autour du stand de merchandising.
La salle se remplit, le groupe débarque et entame le concert de la plus belle des manière, avec notamment un "Fucking Little Bastards" et un "Don't Ask Me To Dance" de très haute tenue. C'est à la fois rock, vénéneux, noir, tendu, tout l'univers de Arab Strap en somme.
Hélas, et ce sera pour moi le ventre mou du concert, l'enchaînement "Dream Sequence" – "Pyjamas" – "Who Named The Days" – "Piglet" me fera redescendre sur terre l'espace de quelques instants. Qu'importe, car à partir d'un remarquable (quoique un peu court) "Speed-date", tout rentrera dans l'ordre, et pour de bon. Les fans de la première heure du groupe apprécieront particulièrement "New Birds", meilleur sur scène que sur disque.
Léger bémol pour "There's No Ending", quelque peu bâclée, mais largement repris par le morceau suivant, "The First Big Weekend", où l'on pourra entendre Malcolm assurer les cœurs.
Le rappel sera acoustique. "Here We Go", "Loch Leven" et "Blood" (magnifique) pour commencer, pour finir de plus en plus dépouillé avec "Amor Veneris", et une déchirante version de "Pack Of Three", ballade d'une grande tristesse commençant néanmoins avec la phrase 'It was the biggest cock you've ever seen'.
Dernier remerciement avant une version à 2 (Malcom à la guitare, Aiden au chant) de "The Shy Retirer", une de leurs plus belles chansons, idéale pour un adieu.
Durant la grosse heure et demi, les regards de Middletom et Morfat se seront cordialement évités. Ambiance bizarre aussi sur scène donc. Peut-être est-ce pour cette raison que j'ai le sentiment que finalement, tout est réglé entre les 2 comparses depuis un moment.
A titre personnel, je regrette déjà ce groupe, qui sans prétention, possède un univers, une discographie de grande qualité et un état d'esprit dont il peut être fier. Le concert de ce soir l'a une dernière fois prouvé.
Ambiance bizarre, très peu de monde avant la première partie, et on peut apercevoir Malcolm Middletom (guitariste et compositeur du groupe) errer autour du stand de merchandising.
La salle se remplit, le groupe débarque et entame le concert de la plus belle des manière, avec notamment un "Fucking Little Bastards" et un "Don't Ask Me To Dance" de très haute tenue. C'est à la fois rock, vénéneux, noir, tendu, tout l'univers de Arab Strap en somme.
Hélas, et ce sera pour moi le ventre mou du concert, l'enchaînement "Dream Sequence" – "Pyjamas" – "Who Named The Days" – "Piglet" me fera redescendre sur terre l'espace de quelques instants. Qu'importe, car à partir d'un remarquable (quoique un peu court) "Speed-date", tout rentrera dans l'ordre, et pour de bon. Les fans de la première heure du groupe apprécieront particulièrement "New Birds", meilleur sur scène que sur disque.
Léger bémol pour "There's No Ending", quelque peu bâclée, mais largement repris par le morceau suivant, "The First Big Weekend", où l'on pourra entendre Malcolm assurer les cœurs.
Le rappel sera acoustique. "Here We Go", "Loch Leven" et "Blood" (magnifique) pour commencer, pour finir de plus en plus dépouillé avec "Amor Veneris", et une déchirante version de "Pack Of Three", ballade d'une grande tristesse commençant néanmoins avec la phrase 'It was the biggest cock you've ever seen'.
Dernier remerciement avant une version à 2 (Malcom à la guitare, Aiden au chant) de "The Shy Retirer", une de leurs plus belles chansons, idéale pour un adieu.
Durant la grosse heure et demi, les regards de Middletom et Morfat se seront cordialement évités. Ambiance bizarre aussi sur scène donc. Peut-être est-ce pour cette raison que j'ai le sentiment que finalement, tout est réglé entre les 2 comparses depuis un moment.
A titre personnel, je regrette déjà ce groupe, qui sans prétention, possède un univers, une discographie de grande qualité et un état d'esprit dont il peut être fier. Le concert de ce soir l'a une dernière fois prouvé.
Parfait 17/20 | par Francislalanne |
Setlist :
Stink
Fickin Little Bastards
Don't Ask Me To Dance
I Saw You
Dream Sequence
Pyjamas
Who Named The Days
Piglet
Speed-date
Gilded
New Birds
(If There's) No Hope For Us
Screaming in the trees
There's No Ending
The First Big Week-end
Here We Go
Loch Leven
Blood
Amor Veneris
Pack Of Three
The Shy Retirer
Stink
Fickin Little Bastards
Don't Ask Me To Dance
I Saw You
Dream Sequence
Pyjamas
Who Named The Days
Piglet
Speed-date
Gilded
New Birds
(If There's) No Hope For Us
Screaming in the trees
There's No Ending
The First Big Week-end
Here We Go
Loch Leven
Blood
Amor Veneris
Pack Of Three
The Shy Retirer
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