Motherfucker
Confetti |
Label :
Sick Room |
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Il était une fois trois keupines (oui, oui, des copines un peu punks, ça va plus vite & à peu près tout le monde comprend, surtout une fois l'explication donnée) qui forment un groupe vite fait pour jouer lors d'un festival à Athens. Branleuses comme elles sont, elles se nomment Motherfucker, et je vous passe les détails & autres élucubrations qui jonchent la vie en Géorgie, un premier album sort, il s'appelle Confetti.
Auto qualifiant leur genre de "Punch-In-The-Air" Rock, Erika, Erica & Mandy savent y faire pour convaincre. On imagine bien ce premier concert où les trois nanas envoyaient tout, un peu de L7, de Babes In Toyland, de Hole (la courte bonne période), et vous obtenez le premier titre, le premier tube, "I'm Fucking Dick Dale". En neuf titres, ces minettes envoient tout, mais avec mesure quand même. Elles ménagent (à leur manière) l'intensité des titres, tout en réussissant l'exploit de pondre neuf tubes. Disons le, rien n'est à jeter sur ce court disque, il regorge de titres plus géniaux les uns que les autres ("I Want The F" en tête) et de déclarations d'amours enflammées comme "Confetti (In Your Fucking Face)" qui sonnerait presque comme un Sleater Kinney énervé.
Un premier album épatant qu'on croirait tout droit sorti des 90's, avec des morceaux vraiment solides, des riffs entêtants, que dire de plus...
Auto qualifiant leur genre de "Punch-In-The-Air" Rock, Erika, Erica & Mandy savent y faire pour convaincre. On imagine bien ce premier concert où les trois nanas envoyaient tout, un peu de L7, de Babes In Toyland, de Hole (la courte bonne période), et vous obtenez le premier titre, le premier tube, "I'm Fucking Dick Dale". En neuf titres, ces minettes envoient tout, mais avec mesure quand même. Elles ménagent (à leur manière) l'intensité des titres, tout en réussissant l'exploit de pondre neuf tubes. Disons le, rien n'est à jeter sur ce court disque, il regorge de titres plus géniaux les uns que les autres ("I Want The F" en tête) et de déclarations d'amours enflammées comme "Confetti (In Your Fucking Face)" qui sonnerait presque comme un Sleater Kinney énervé.
Un premier album épatant qu'on croirait tout droit sorti des 90's, avec des morceaux vraiment solides, des riffs entêtants, que dire de plus...
Parfait 17/20 | par X_Lok |
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