Orval Carlos Sibelius
Super Forma |
Label :
Clapping Music |
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Il est des disques comme ça, qui semble tellement évident... Il devient compliqué de poser des mots sur le papier pour en parler.
Un disque qui mélange les genres, qui ose, surprend, et qui réussit à parler à tout le monde, de la mère de famille (la mienne adore) au plus pointilleux des extrémistes musicaux. Balayant tout un spectre de la musique, réunissant en son sein le psychédélisme tropical et la musique surf, l'ambition de ce disque n'a d'égal que sa réussite, en tout point.
des sonorités afro ("Super Data") aux plages californiennes ("Asteroids"), en passant par une sorte de Syd Barrett désenchanté ("Bells"), Super Forma est d'une cohérence folle, les titres s'enchaînent, laissant l'impression d'un seul et même titre en plusieurs mouvements, en évolution perpétuelle. Alternant la longueurs des morceaux très intelligemment, surprenant l'auditeur par une multitude de trouvailles sonores, d'instruments rares, et offrant le parfait "Burundi" en hidden track, un petit quart d'heure de bonheur auditif, un collage sortant du cerveau fêlé d'Orval Carlos Sibelius, jouant de nos sens avec une telle malice qu'on en redemande forcément. Ce disque est si complexe que même plusieurs écoutes en boucle ne lasseront pas, il y a tellement de chemins par lesquels le parcourir, différentes focales à utiliser pour le saisir dans toute sa splendeur, tout en lui laissant une part de mystère, une sorte d'émerveillement enfantin ininterrompu.
Il est des disques comme ça, qui semble si évident... Si évident qu'on a envie que tout le monde l'écoute, que chaque personne y trouve sa dose de bonheur musical, et qu'elle même le partage, que chacun l'aborde avec sa sensibilité propre, de la façon dont Orval Carlos Sibelius l'a composé.
Un disque qui mélange les genres, qui ose, surprend, et qui réussit à parler à tout le monde, de la mère de famille (la mienne adore) au plus pointilleux des extrémistes musicaux. Balayant tout un spectre de la musique, réunissant en son sein le psychédélisme tropical et la musique surf, l'ambition de ce disque n'a d'égal que sa réussite, en tout point.
des sonorités afro ("Super Data") aux plages californiennes ("Asteroids"), en passant par une sorte de Syd Barrett désenchanté ("Bells"), Super Forma est d'une cohérence folle, les titres s'enchaînent, laissant l'impression d'un seul et même titre en plusieurs mouvements, en évolution perpétuelle. Alternant la longueurs des morceaux très intelligemment, surprenant l'auditeur par une multitude de trouvailles sonores, d'instruments rares, et offrant le parfait "Burundi" en hidden track, un petit quart d'heure de bonheur auditif, un collage sortant du cerveau fêlé d'Orval Carlos Sibelius, jouant de nos sens avec une telle malice qu'on en redemande forcément. Ce disque est si complexe que même plusieurs écoutes en boucle ne lasseront pas, il y a tellement de chemins par lesquels le parcourir, différentes focales à utiliser pour le saisir dans toute sa splendeur, tout en lui laissant une part de mystère, une sorte d'émerveillement enfantin ininterrompu.
Il est des disques comme ça, qui semble si évident... Si évident qu'on a envie que tout le monde l'écoute, que chaque personne y trouve sa dose de bonheur musical, et qu'elle même le partage, que chacun l'aborde avec sa sensibilité propre, de la façon dont Orval Carlos Sibelius l'a composé.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par X_Lok |
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