Cult Of Youth
Love Will Prevail |
Label :
Sacred Bones |
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Drôle de disque que ce Love Will Prevail.
Pas le genre de truc que j'ai l'habitude de me mettre entre les oreilles. mélange de new wave, d'instruments acoustiques, une ambiance assez sombre... Pour vous faire une idée (rapide & caricaturale) c'est un peu comme si Fleet Foxes reprenait du Echo & The Bunnymen, ou l'inverse. ouais plutôt l'inverse. Une énergie post punk au service d'une guitare sèche ("Path Of Total Freedom"), la voix de Sean Ragon, grave & chaude au possible, envoutante & malsaine à la fois ("The Gataway") mélange surprenant, que les journalistes ont vite classé dans une case, un nouveau néologisme, du Néofolk. mouais. Néofolk, Darkfolk, c'est sur que ça résume assez justement l'ambiance de ce disque, mais pourquoi ce besoin de toujours créer des cases? Un titre comme "Man & Man's Ruin" pourrait presque passer pour du folklore irlandais, les violons de "Golden Age" rappelleraient presque le "Rescue" d'Echo & The Bunnymen. Un mélange osé, qui finalement se révèle contagieux, addictif, et terriblement bon. Histoire de schématiser davantage encore, on pourrait dire qu'on tient là un disque pour les corbeaux adeptes de la Guinness. Mais je suis certain qu'il captivera bien plus de monde.
Pas le genre de truc que j'ai l'habitude de me mettre entre les oreilles. mélange de new wave, d'instruments acoustiques, une ambiance assez sombre... Pour vous faire une idée (rapide & caricaturale) c'est un peu comme si Fleet Foxes reprenait du Echo & The Bunnymen, ou l'inverse. ouais plutôt l'inverse. Une énergie post punk au service d'une guitare sèche ("Path Of Total Freedom"), la voix de Sean Ragon, grave & chaude au possible, envoutante & malsaine à la fois ("The Gataway") mélange surprenant, que les journalistes ont vite classé dans une case, un nouveau néologisme, du Néofolk. mouais. Néofolk, Darkfolk, c'est sur que ça résume assez justement l'ambiance de ce disque, mais pourquoi ce besoin de toujours créer des cases? Un titre comme "Man & Man's Ruin" pourrait presque passer pour du folklore irlandais, les violons de "Golden Age" rappelleraient presque le "Rescue" d'Echo & The Bunnymen. Un mélange osé, qui finalement se révèle contagieux, addictif, et terriblement bon. Histoire de schématiser davantage encore, on pourrait dire qu'on tient là un disque pour les corbeaux adeptes de la Guinness. Mais je suis certain qu'il captivera bien plus de monde.
Très bon 16/20 | par X_Lok |
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