The Delgados
Hate |
Label :
Mantra |
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"Hate" s'impose à l'auditeur comme la suite logique de "The Great Eastern". Pour leur quatrième album, les Delgados continuent d'explorer les territoires pop inconnus. Pour ce faire Dave Fridmann (également producteur des Flaming Lips, Mogwai, Sparklehorse...) est toujours aux commandes, et encore une fois, le résultat est réellement superbe.
Derrière cette pochette et ce titre mystérieux, "Hate" se révèle être, en réalité, au fil des écoutes, un disque magnifique de calme, de beauté et de délicatesse. L'une des caractéristiques de cet album est constituée par le fait que les Delgados sont accompagnés - sur "The Light Before the Land" et "Woke for Dreaming" - par une chorale regroupant trois sopranos, un ténor et un bariton!
Tout commence par "The Light before the Land". On s'aperçoit alors que la voix d'Emma Pollock n'a pas changé: toujours aussi douce et fragile. Force est de constater que les arrangement réalisés apparaissent vraiment somptueux. Comme dans l'album précédent, les chants alternent d'un morceau à l'autre entre Emma Pollock et Alun Woodward. Et ainsi, le deuxième titre, "All you need is Hate" est chanté par ce dernier. Les titres s'enchainent excellement, et l'on ne peut s'empêcher de s'émerveiller devant les progressions souvent superbes des morceaux ("Woke for Dreaming", "The Drawning Years"...).
Puis arrive "Coming in from the Cold", formidable titre pop dans le sens génial du terme. Il s'agit d'une ballade magnifique basée sur une progression d'accords joués à la guitare acoustique, avec la voix d'Emma qui sublime littéralement ce morceau, qui deviendra le premier maxi de l'album. La suite n'est plus alors que douceur pour l'oreille.
"Child Killers", lui, nous dévoile les capacités des Delgados en matière d'orchestration et d'instrumentation, alors que "Favours" se caractérise par une montée en puissance, dès le début du morceau, basée sur un riff simple et sur lequel viennent se greffer une lead guitare claire et un une pattern de batterie qui permet au tout de s'envoler. Les derniers morceaux poursuivent le genre et terminent le disque de manière calme et posée.
"Hate" est donc un album excellent, délicat mais comportant néanmoins de splendides envolées magnifiquement orchestrées. "Hate" : une touche de douceur et de délicatesse dans le monde actuel. Qui s'en plaindra?
Derrière cette pochette et ce titre mystérieux, "Hate" se révèle être, en réalité, au fil des écoutes, un disque magnifique de calme, de beauté et de délicatesse. L'une des caractéristiques de cet album est constituée par le fait que les Delgados sont accompagnés - sur "The Light Before the Land" et "Woke for Dreaming" - par une chorale regroupant trois sopranos, un ténor et un bariton!
Tout commence par "The Light before the Land". On s'aperçoit alors que la voix d'Emma Pollock n'a pas changé: toujours aussi douce et fragile. Force est de constater que les arrangement réalisés apparaissent vraiment somptueux. Comme dans l'album précédent, les chants alternent d'un morceau à l'autre entre Emma Pollock et Alun Woodward. Et ainsi, le deuxième titre, "All you need is Hate" est chanté par ce dernier. Les titres s'enchainent excellement, et l'on ne peut s'empêcher de s'émerveiller devant les progressions souvent superbes des morceaux ("Woke for Dreaming", "The Drawning Years"...).
Puis arrive "Coming in from the Cold", formidable titre pop dans le sens génial du terme. Il s'agit d'une ballade magnifique basée sur une progression d'accords joués à la guitare acoustique, avec la voix d'Emma qui sublime littéralement ce morceau, qui deviendra le premier maxi de l'album. La suite n'est plus alors que douceur pour l'oreille.
"Child Killers", lui, nous dévoile les capacités des Delgados en matière d'orchestration et d'instrumentation, alors que "Favours" se caractérise par une montée en puissance, dès le début du morceau, basée sur un riff simple et sur lequel viennent se greffer une lead guitare claire et un une pattern de batterie qui permet au tout de s'envoler. Les derniers morceaux poursuivent le genre et terminent le disque de manière calme et posée.
"Hate" est donc un album excellent, délicat mais comportant néanmoins de splendides envolées magnifiquement orchestrées. "Hate" : une touche de douceur et de délicatesse dans le monde actuel. Qui s'en plaindra?
Parfait 17/20 | par X_Jpbowersock |
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