Dawn Of The Replicants
Touching The Propeller |
Label :
Flying Sparks |
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En 2002 les Dawn Of The Replicants livrent leur troisième album. Un peu plus posé et classieux que les précédents mais toujours aussi talentueusement décalé.
C'est aussi l'occasion de découvrir des arrangements plus électroniques qu'à leur habitude, sans que cela ne sonne "electro" à proprement parler, les bidouillages viennent servir un pop-rock bizarroïde, en particulier sur les titres "Hoolywood Hills", "Smoke Without Fire", "Black And White Rainbows" et surtout "Afraid Of The Ground". Paul Vickers arbore un visage plutôt de crooner et, bien que plus posé, Touching The Propeller contient tout de même quelques morceaux qui donnent bien envie de se remuer comme sur "Black And White Rainbows", sorte de disco-blues complètement barré, ou encore sur "Rockerfeller Center 1932" qui n'est rien de moins qu'un bon vieux rock'n'roll old school terriblement efficace.
Un peu déçu à la première écoute, j'ai finalement été conquis au fil des écoutes, jusqu'à en devenir accro. Il faut dire que ce disque contient une bonne dose de titres qui accrochent les oreilles et des compositions très réussies, voire à la limite de la perfection en ce qui concerne l'hypnotisant "Smoke Without Fire" et le très classieux "No Room At The Inn".
Excellent disque.
C'est aussi l'occasion de découvrir des arrangements plus électroniques qu'à leur habitude, sans que cela ne sonne "electro" à proprement parler, les bidouillages viennent servir un pop-rock bizarroïde, en particulier sur les titres "Hoolywood Hills", "Smoke Without Fire", "Black And White Rainbows" et surtout "Afraid Of The Ground". Paul Vickers arbore un visage plutôt de crooner et, bien que plus posé, Touching The Propeller contient tout de même quelques morceaux qui donnent bien envie de se remuer comme sur "Black And White Rainbows", sorte de disco-blues complètement barré, ou encore sur "Rockerfeller Center 1932" qui n'est rien de moins qu'un bon vieux rock'n'roll old school terriblement efficace.
Un peu déçu à la première écoute, j'ai finalement été conquis au fil des écoutes, jusqu'à en devenir accro. Il faut dire que ce disque contient une bonne dose de titres qui accrochent les oreilles et des compositions très réussies, voire à la limite de la perfection en ce qui concerne l'hypnotisant "Smoke Without Fire" et le très classieux "No Room At The Inn".
Excellent disque.
Excellent ! 18/20 | par Tito00 |
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