Plastikman
Artifakts [BC] |
Label :
Novamute |
||||
Nous voici face à un objet étrange.
La maison de disque a en effet d'abord refusé de le sortir puis a finalement attendu 6 mois après Consumed pour le publier. L'information Before Consumed [BC] est alors capitale. De plus, le packaging mélange l'avant et l'après Consumed : c'est le digipack qui est choisi, comme pour ce dernier et, plus tard, Closer. Mais pour la couleur, c'est le blanc qui est retenu : comme pour les deux premiers, Sheet One et Musik, de même que le logo reste visible sur la couverture mais uniquement en relief, alors qu'ils étaient clairement imposants en rouge et noir sur fond blanc. Ainsi, Artifakts a une couverture immaculée. Plastikman passe du blanc au noir, sans transition.
Comme on le sait, la pochette, le livret, le support même d'un album peut en modifié (un peu, beaucoup, etc.) l'effet sur l'écoute de la musique qu'il renferme. Artifakts [BC] prend tout son sens écouté après Musik et avant Consumed. Et, bien que ce disque soit plus a considérer comme une sorte de compilation permettant de comprendre le passage d'un projet à un autre, je le ressens pour ma part complètement comme un véritable album, charnière dans sa discographie.
Grâce à l'erreur réparée par la maison de disques de nous permettre d'entendre cette œuvre, l'on peut davantage encore se rendre compte de l'importance de ne jamais écouter de musique avec des préjugés, quand bien même ceux-ci nous sont directement infligés par le titre du morceau, la couleur de l'artiste, ou l'humeur qui nous domine. C'est album est bel et bien sorti des entrailles de Richie Hawtin avant Consumed. La nuit est encore loin... enfin, c'est ce qu'on croyait.
La maison de disque a en effet d'abord refusé de le sortir puis a finalement attendu 6 mois après Consumed pour le publier. L'information Before Consumed [BC] est alors capitale. De plus, le packaging mélange l'avant et l'après Consumed : c'est le digipack qui est choisi, comme pour ce dernier et, plus tard, Closer. Mais pour la couleur, c'est le blanc qui est retenu : comme pour les deux premiers, Sheet One et Musik, de même que le logo reste visible sur la couverture mais uniquement en relief, alors qu'ils étaient clairement imposants en rouge et noir sur fond blanc. Ainsi, Artifakts a une couverture immaculée. Plastikman passe du blanc au noir, sans transition.
Comme on le sait, la pochette, le livret, le support même d'un album peut en modifié (un peu, beaucoup, etc.) l'effet sur l'écoute de la musique qu'il renferme. Artifakts [BC] prend tout son sens écouté après Musik et avant Consumed. Et, bien que ce disque soit plus a considérer comme une sorte de compilation permettant de comprendre le passage d'un projet à un autre, je le ressens pour ma part complètement comme un véritable album, charnière dans sa discographie.
Grâce à l'erreur réparée par la maison de disques de nous permettre d'entendre cette œuvre, l'on peut davantage encore se rendre compte de l'importance de ne jamais écouter de musique avec des préjugés, quand bien même ceux-ci nous sont directement infligés par le titre du morceau, la couleur de l'artiste, ou l'humeur qui nous domine. C'est album est bel et bien sorti des entrailles de Richie Hawtin avant Consumed. La nuit est encore loin... enfin, c'est ce qu'on croyait.
Parfait 17/20 | par Rv |
En ligne
195 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages