Paul Weller
22 Dreams |
Label :
Island |
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À quelques articles près, la presse est unanime : 22 Dreams est le meilleur album de Paul Weller. À l'aube de son second demi-siècle, le modfather pourrait ainsi se gargariser après quelques déjà remarqués et remarquables albums, d'avoir gravé là son chef-d'œuvre solo.
Du conditionnel à passer à l'indicatif. Car 2, 3 écoutes suffisent, c'est même déjà trop, pour se persuader définitivement que l'Anglais véritable a pondu-là une merveille popeuse et même plus, étendue sur un double. Un double-album oui. Carrément. Le rêve toujours un brin mégalo de cette race de songwriters prolifiques sans doute aujourd'hui en voie d'extinction. Le but avoué : faire briller son talent sur un temps aussi conséquent, comme un panorama ultime de son art multiple. Peu réussissent vraiment, la plupart ennuient. Applaudissons donc à nous en faire mal quand un grand monsieur comme lui dépasse d'un bon mètre la hauteur de nos plus folles espérances.
Pour un exploit pareil et aussi inattendu, Paul Weller a ratissé large, très large. De la soul à l'estampe lumineuse des Marvin ou autre Curtis ("Empty Ring") jusqu'à l'expérimentation déglingue et angoissante ("111"). Il sait tout faire le monsieur et le fait mieux que tout le monde. Dur, mais on ne va surtout pas s'en plaindre, de s'y retrouver dans cette géniale foire à musique. Up-tempo démoniaques ("22 Dreams") ou ballades à pleurer ("Invisible"), tous les goûts et couleurs seront comblés. Quelle richesse.
Quel bonheur. C'est en tombant un jour sur un album comme cela, aussi magique, que l'on développe instantanément une passion dévorante pour la musique. Disque à changer une vie. L'année n'est même pas écoulée de moitié que l'on sait déjà que 22 Dreams en est l'un des meilleurs, et pourquoi pas ou même sans doute, le meilleur.
Du conditionnel à passer à l'indicatif. Car 2, 3 écoutes suffisent, c'est même déjà trop, pour se persuader définitivement que l'Anglais véritable a pondu-là une merveille popeuse et même plus, étendue sur un double. Un double-album oui. Carrément. Le rêve toujours un brin mégalo de cette race de songwriters prolifiques sans doute aujourd'hui en voie d'extinction. Le but avoué : faire briller son talent sur un temps aussi conséquent, comme un panorama ultime de son art multiple. Peu réussissent vraiment, la plupart ennuient. Applaudissons donc à nous en faire mal quand un grand monsieur comme lui dépasse d'un bon mètre la hauteur de nos plus folles espérances.
Pour un exploit pareil et aussi inattendu, Paul Weller a ratissé large, très large. De la soul à l'estampe lumineuse des Marvin ou autre Curtis ("Empty Ring") jusqu'à l'expérimentation déglingue et angoissante ("111"). Il sait tout faire le monsieur et le fait mieux que tout le monde. Dur, mais on ne va surtout pas s'en plaindre, de s'y retrouver dans cette géniale foire à musique. Up-tempo démoniaques ("22 Dreams") ou ballades à pleurer ("Invisible"), tous les goûts et couleurs seront comblés. Quelle richesse.
Quel bonheur. C'est en tombant un jour sur un album comme cela, aussi magique, que l'on développe instantanément une passion dévorante pour la musique. Disque à changer une vie. L'année n'est même pas écoulée de moitié que l'on sait déjà que 22 Dreams en est l'un des meilleurs, et pourquoi pas ou même sans doute, le meilleur.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Sirius |
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