Stuart Staples
Leaving Songs |
Label :
Beggars Banquet |
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Humilité... les Tindersticks mis à nu sur cet album de Stuart A Staples accompagné de 2 rescapés de son groupe des années 90 (Neil Fraser et David Boulter).
Le disque démarre par un long voyage magnifiquement orchestré ("Goodbye To Old Friends"), chanson à vous mettre la pèche le matin, le blues le soir... Ensuite première ballade ("There Is A Path") très Leonard Cohen, mais aussi tès crédible et sincère... L'album se poursuit avec un son plus Tindersticks ("Which Way The Wind"), ou encore une fois la voix de Stuart est à la fois (paradoxe) frêle-fragile et sûre-affirmée que c'est difficile de la décrire (on a d'ailleurs tellement écrit sur cette voix hantée et habitée que ce n'est pas la peine de rajouter du superflu, il vaut mieux l'écouter).
Arrive un premier duo féminin avec Maria McKee, très épuré et très riche ("This Road Is Long")... La suivante poursuit la ballade de la mélancolie ("One More Time")...puis c'est le dépouillement absolu ("Danse With An Old Man")... et réapparition de Lhasa de Sela ("That Leaving Feeling") pour un nouveau duo très convaincant avec violons, cuivres, orgue... L'émotion de la simplicité revient ("Already Gone"), c'est toujours magnifique... Une autre ballade enchaîne ("This Old Town") et nous enchaîne, et l'on sourit à chaque apparition, chaque touche d'un instrument nouveau, c'est fin et triste. Ca se termine, "One Two Three Four (Pulling In To The Sea)" par encore une superbe mélodie... et une fois le disque finit, le silence est la plus belle prolongation... rêve, voyage, frémissement, nostalgie, sourire, souvenirs, séduction, intimité... et demain ?
Album très convaincant (sentiment aussi renforcé par son interprétation au café de la danse il y a une semaine), album très saisonnier... à écouter maintenant pendant les longues soirée d'hiver chez soi bien au chaud, ou en ballade dehors dans le froid pour se réchauffer les oreilles et la tête !
Ce disque est une belle synthèse... synthèse de sa carrière et de ses influences.
Le disque démarre par un long voyage magnifiquement orchestré ("Goodbye To Old Friends"), chanson à vous mettre la pèche le matin, le blues le soir... Ensuite première ballade ("There Is A Path") très Leonard Cohen, mais aussi tès crédible et sincère... L'album se poursuit avec un son plus Tindersticks ("Which Way The Wind"), ou encore une fois la voix de Stuart est à la fois (paradoxe) frêle-fragile et sûre-affirmée que c'est difficile de la décrire (on a d'ailleurs tellement écrit sur cette voix hantée et habitée que ce n'est pas la peine de rajouter du superflu, il vaut mieux l'écouter).
Arrive un premier duo féminin avec Maria McKee, très épuré et très riche ("This Road Is Long")... La suivante poursuit la ballade de la mélancolie ("One More Time")...puis c'est le dépouillement absolu ("Danse With An Old Man")... et réapparition de Lhasa de Sela ("That Leaving Feeling") pour un nouveau duo très convaincant avec violons, cuivres, orgue... L'émotion de la simplicité revient ("Already Gone"), c'est toujours magnifique... Une autre ballade enchaîne ("This Old Town") et nous enchaîne, et l'on sourit à chaque apparition, chaque touche d'un instrument nouveau, c'est fin et triste. Ca se termine, "One Two Three Four (Pulling In To The Sea)" par encore une superbe mélodie... et une fois le disque finit, le silence est la plus belle prolongation... rêve, voyage, frémissement, nostalgie, sourire, souvenirs, séduction, intimité... et demain ?
Album très convaincant (sentiment aussi renforcé par son interprétation au café de la danse il y a une semaine), album très saisonnier... à écouter maintenant pendant les longues soirée d'hiver chez soi bien au chaud, ou en ballade dehors dans le froid pour se réchauffer les oreilles et la tête !
Ce disque est une belle synthèse... synthèse de sa carrière et de ses influences.
Excellent ! 18/20 | par EtheBunnymen |
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