Zero7
When It Falls |
Label :
Elektra |
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Le diamant tombe lentement sur la platine. Quelques grésillements, quelques sursauts, et When It Falls débute de très belle manière laissant espérer une suite aussi belle que le premier album.
Le style de Zero 7 (électro ambiant, trip-hop) n'a presque pas changé d'un pouce et pourtant on éprouve le même plaisir qu'à l'écoute de Simple Things. On retrouve d'ailleurs les mêmes voix protagonistes. Mozez avec sa voix de soulman habite divinement "Warm Sound" et "Over Our Hands", Sia Furler et Sophie Baker quant à elles font perdurer leur timbre avec douceur le temps de "Somersault" et d'autres, remplacées par moment par une nouvelle recrue et sosie vocal : Tina Dico. Ce subtil mélange ferait fondre les montres et les horloges dans un tableau de Dali tant le calme et la sérénité dégagés sont intenses.
Le disque progresse alors sans trop de surprises, avec facilité dirons nous même, mais cela n'altère pas la qualité de musique que nous offre Henry Binns et Sam Hardaker. Privilégiant l'accessibilité le duo n'a cependant pas oublié de mettre les formes puisqu'ils consacrent de longues pistes instrumentales sublimes qui prouvent que leur talent réside avant tout dans la compositions des mélodies que dans le choix des chanteurs. Je pense en particulier à "When It Falls" ou encore "Look Up" véritables démonstrations de bons goûts et d'esthétisme. Ici pas de titre phare contrairement à l'album précédent ce qui rend l'album homogène et inoxydable. Mais ne pensez tout de même pas vous en sortir sans un petit air qui vous trotte dans la tête une fois l'album fini. On ne disparaît pas d'un océan de paix sans qu'il nous reste quelques gouttes de tranquillité...
Le style de Zero 7 (électro ambiant, trip-hop) n'a presque pas changé d'un pouce et pourtant on éprouve le même plaisir qu'à l'écoute de Simple Things. On retrouve d'ailleurs les mêmes voix protagonistes. Mozez avec sa voix de soulman habite divinement "Warm Sound" et "Over Our Hands", Sia Furler et Sophie Baker quant à elles font perdurer leur timbre avec douceur le temps de "Somersault" et d'autres, remplacées par moment par une nouvelle recrue et sosie vocal : Tina Dico. Ce subtil mélange ferait fondre les montres et les horloges dans un tableau de Dali tant le calme et la sérénité dégagés sont intenses.
Le disque progresse alors sans trop de surprises, avec facilité dirons nous même, mais cela n'altère pas la qualité de musique que nous offre Henry Binns et Sam Hardaker. Privilégiant l'accessibilité le duo n'a cependant pas oublié de mettre les formes puisqu'ils consacrent de longues pistes instrumentales sublimes qui prouvent que leur talent réside avant tout dans la compositions des mélodies que dans le choix des chanteurs. Je pense en particulier à "When It Falls" ou encore "Look Up" véritables démonstrations de bons goûts et d'esthétisme. Ici pas de titre phare contrairement à l'album précédent ce qui rend l'album homogène et inoxydable. Mais ne pensez tout de même pas vous en sortir sans un petit air qui vous trotte dans la tête une fois l'album fini. On ne disparaît pas d'un océan de paix sans qu'il nous reste quelques gouttes de tranquillité...
Très bon 16/20 | par TiComo La Fuera |
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