Psapp
Tiger, My Friend |
Label :
Leaf |
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Tiger, My Friend fait partie de ces disques qui semblent venir de nulle part et qui donne plus l'impression d'être bricolé que composé (mais ce n'est qu'une impression évidemment...).
Mais non, ce disque vient bel et bien de quelque part: de Londres géographiquement parlant, et plus prosaïquement des cerveaux de la paire Galia Durant - Carim Clasmann. Alors que se passe-t-il concrètement ici, et qu'y retrouve-t-on ? Hé bien, tout et n'importe quoi. Psapp a choisi de s'orienter dans un domaine dominé par une électro-pop baignant dans une légèreté étonnante et à laquelle s'ajoutent de petits bruits, des sons venus d'on ne se sait où: de jouets d'enfants, d'ustensiles de cuisine et que sais-je... et au final peu importe ! Le résultat est là et s'apprécie sur les onze titres qui composent ce premier album du duo. et ce qui saute aux oreilles c'est la fraîcheur qui se dégage de ce Tiger, My Friend: une sorte de naïveté enfantine insaisissable qui habite chacun des sons et chacune des mélodies présentes dans cet opus. Ainsi, c'est parfois un festival de nouvelles sonorités et de bruits qui se présentent à nous, tour à tour amusants, puérils ou espiègles.
La légèreté qui caractérise ce disque s'exprime à travers le chant lascif de Galia Durant (pouvant éventuellement faire penser à celui de Morcheeba sur certains titres), qui s'il n'a rien de profondément technique, se place idéalement sur tous les bruits qui s'échappent de nos enceintes. "Leaving In Coffins", "Curuncula" ou "Rear Mohr" sont autant d'exemples (très bons au demeurant) de cette insousiance si flagrante.
...Et le charme opère. Tout le côté printanier et léger de Tiger, My Friend finit par se faire aveuglant, et parvient à nous prendre sous son aile. Après tout, le mariage des mélodies gaie et frivole de Psapp avec la face enfantine du groupe est une vraie réussite. Alors, finalement, pourquoi nous en priverions-nous ?
Mais non, ce disque vient bel et bien de quelque part: de Londres géographiquement parlant, et plus prosaïquement des cerveaux de la paire Galia Durant - Carim Clasmann. Alors que se passe-t-il concrètement ici, et qu'y retrouve-t-on ? Hé bien, tout et n'importe quoi. Psapp a choisi de s'orienter dans un domaine dominé par une électro-pop baignant dans une légèreté étonnante et à laquelle s'ajoutent de petits bruits, des sons venus d'on ne se sait où: de jouets d'enfants, d'ustensiles de cuisine et que sais-je... et au final peu importe ! Le résultat est là et s'apprécie sur les onze titres qui composent ce premier album du duo. et ce qui saute aux oreilles c'est la fraîcheur qui se dégage de ce Tiger, My Friend: une sorte de naïveté enfantine insaisissable qui habite chacun des sons et chacune des mélodies présentes dans cet opus. Ainsi, c'est parfois un festival de nouvelles sonorités et de bruits qui se présentent à nous, tour à tour amusants, puérils ou espiègles.
La légèreté qui caractérise ce disque s'exprime à travers le chant lascif de Galia Durant (pouvant éventuellement faire penser à celui de Morcheeba sur certains titres), qui s'il n'a rien de profondément technique, se place idéalement sur tous les bruits qui s'échappent de nos enceintes. "Leaving In Coffins", "Curuncula" ou "Rear Mohr" sont autant d'exemples (très bons au demeurant) de cette insousiance si flagrante.
...Et le charme opère. Tout le côté printanier et léger de Tiger, My Friend finit par se faire aveuglant, et parvient à nous prendre sous son aile. Après tout, le mariage des mélodies gaie et frivole de Psapp avec la face enfantine du groupe est une vraie réussite. Alors, finalement, pourquoi nous en priverions-nous ?
Bon 15/20 | par X_Jpbowersock |
Publié fin 2004 aux Etats-Unis, Tiger, My Friend ne sera édité en France qu'en août 2005.
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